talou a écrit :
Salut à tous
Dans un contexte purement jazz :
le mode Mixolydien, la gamme mineure harmonique, la gamme pentatonique, la gamme Majeure, la gamme be bop , la gamme mineure mélodique et les modes issus de cette gamme : le mode lydien b7, le mode altéré, la gamme demi ton/ton, le mode Lydien augmenté ...
La gamme mineure mélodique on l'utilise sur un accord mineur 6 degré I (d'un II V I) . C'est la sixte majeure qui donne l'ampleur à la gamme mineure mélodique (sonorité tzigane)
N'étant pas trop calée dans ce domaine (et surtout apprentie), je préfère ne pas trop dire de bêtises et laisser la parole aux + expérimentés
Bonjour bonjour!
Et au-delà de toutes ces précisions qui me semblent justes - mais je ne touche pas vraiment ma bille dans ce domaine -, il faut peut-être aussi, voire surtout, penser autrement qu'en termes de gammes. Une gamme en soi, ce n'est pas de la musique, ça dépend sur quoi et comment on la joue.
De mon point de vue, on peut improviser "verticalement", c'est à dire sur la grille et en termes d'accords, d'où l'importance des arpèges qui ne sont jamais que des bouts de gamme réarrangés. Autrement dit, et pour rester à mon niveau c'est à dire assez basique dans l'analyse, si le piano te donne un Cmaj7, ce n'est pas la même chose que s'il te donne un Cmaj6-9, ou Cmaj9, etc...
On peut aussi improviser "horizontalement", c'est à dire en tenant compte surtout de la mélodie. C'est une manière plus "à l'ancienne" d'envisager les choses, mais ça cultive les oreilles, la paraphrase, les notes d'approche, les appogiatures - un p, deux p?
- etc...
Enfin, le phrasé, toujours le phrasé...La même gamme, jouée in extenso sur le même accord, ne sonnera pas de la même manière si elle est jouée par Joe Pass ou par Gambale...
"Take it easy. But take it."