Guérir le GAS

Perso j'ai testé une méthode radicale ! Divorce, soulte et pension alimentaire.
100% de résultat positif !
Non seulement vous n'achetez plus, mais vous revendez celles que vous avez.
Maintenant,je réfléchis deux fois avant d'acheter un médiator, et dieu sait que j'étais bien atteint..
le sevrage est violent mais ça marche super bien et 50% d'entre vous vont en profiter ! :-)

3 ans sans acheter le moindre matos de guitare!

Je vous bat tous, 5 ans et demi sans rien acheter sinon des cordes, des plectres et j'ai dû changer un jack

Ah non, c'est moi qui vous bas tous : 5 ans sans rien acheter mais en vendant 18 guitares et 12 amplis :-)

Onio­ma­nie : c’est ainsi qu’on nomme le trouble lié à l’achat compul­sif, plus couram­ment appelé « fièvre ache­teuse » et qui renvoie à la manie compul­sive des achats, alors même que ce qu’on achète ne nous est pas ou peu néces­saire. Décrite par Emil Krae­pe­lin dès 1915 puis par Eugen Bleu­ler en 1924 dans leurs ouvrages de psychia­trie, l’onio­ma­nie n’est donc toujours pas recon­nue offi­ciel­le­ment comme une mala­die même si l’OMS mentionne les « achats compul­sifs » à la section « troubles de la person­na­lité et du compor­te­ment » dans son CIM-10 (Clas­si­fi­ca­tion Inter­na­tio­nale des Mala­dies) et que de plus récentes recherches s’y sont inté­res­sées. Gilles Valence propose ainsi, en 1988, une typo­lo­gie plus détaillée des onio­manes qu’il divise en quatre profils : le consom­ma­teur émotion­nel, très atta­ché au symbo­lisme et la valeur senti­men­tale de l’objet acheté, le consom­ma­teur impul­sif, envahi par un désir d’achat soudain et qui se sent après coup coupable d’y avoir cédé, le consom­ma­teur fana­tique qui ne serait autre que le collec­tion­neur, et enfin l’ache­teur compul­sif qui inves­tit l’achat comme un moyen de lutter contre des tensions internes géné­rant une angoisse, et qui se sent extrê­me­ment frus­tré lorsqu’il ne peut pas céder à sa pulsion.