jimfire a écrit :
rapideyemove a écrit :
jimfire a écrit :
rapideyemove a écrit :
jimfire a écrit :
Elle ressemble (enfin ses bras surtout !!) à une tennis women !!
Sinon, je suis sur le dernier Bernard Minier (N'éteins pas la lumière), 3ième polar mettant en scène le même personnage ; sympa
Après j'attaque quelques Thilliez que j'ai en réserve depuis un moment
!!
Ah, si tu attaques avec Gustav Mahler aussi...
Je suppose qu'il écoute toujours le Viennois dans le troisième ?
Ah ah ! Je ne veux pas spoiler... Je ne suis qu'au 1/3 du livre et, pour l'instant, il est moins présent mais pour une raison bien précise...
Et merci.
avec plaisir... mais pourquoi ??
Pour le renseignement et la prévention ; juste ce qu'il faut pour le "sub-plot" et son suspense.
Je lirai sans doute.
Thilliez tient bien aussi question construction d' intrigues, enchaînements, emboîtements, fausses pistes...etc...etc... (Cela dit, je n'en ai lu qu'un seul,
La mémoire fantôme )
En revanche, question écriture, cela m'apparaît comme moins tendu, plus mainstream (lieux communs descriptifs / psychologiques, points de vue du narrateur...etc...) que Bernard Minier.
Bon, c'est toujours mieux que Maxime Chattam, qui ne s'améliore pas du tout sur ce plan, à ce que j'en sais et en feuillette dans les librairies, par désœuvrement :
.
J'ai dû lire à peine une centaine de pages des
Arcanes du chaos : de gros moyens pour créer des intrigues et des univers (la maison de Yael Mallan, si je me souviens bien...).
Mais une indigence stylistique vraiment redoutable.
Chez lui, les lieux communs deviennent des poncifs (outre les descriptions et réactions des personnages, des clichés en dialogues...) qui usent et ruinent le pauvre lecteur que je suis.
Ce n'est pas compliqué, le livre et l'auteur me sont tombés des mains, patatras, sur le parquet, depuis 2006.
En ce moment ?
Dans La Pléiade de Mark Twain qui vient tout juste de sortir.
Tom Sawyer,
Huckleberry Finn, bien sûr.
En compagnie, aussi, de
La Vie sur le Mississippi, et de
La Tragédie de David Wilson le Parfait Nigaud.
Aux anges !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.