8oris a écrit :
Outrecuidance est le terme cuistre par excellence.
Sinon, entre ta syntaxe hautaine, tes citations dans des langues étrangères, ton étalage de culture gratuit et assez hors-propos, ta prose grandiloquente, que dire?...
Des personnages comme toi sur Internet et sur Backstage (ta partie préférée du forum, d'ailleurs je soupçonne que derrière ton pseudo se cache un ex-ban venu faire le cow-boy philosophique sur Backstage), il y en a des tonnes et au fond, tu as raison "il n'y a rien à voir".
Oh, il est pas content l'monsieur !
Et il a de l'esprit, en plus.
Enfin, un esprit d'enquête, plutôt, qui «
soupçonne», et ne sait que cela, seulement.
Quant à la mauvaise réputation, un «
ex-ban», ou je ne sais quelles légendes encore, ça j'adore, surtout sur ce topic et ses complots : un véritable exercice, pas de style sans doute, mais un exercice, quand même.
Que je salue, bien volontiers.
Ensuite, ce «
cow–boy philosophique» m'est allé droit au cœur.
Comment ne pas se réjouir d'être, à la fois, pistolero et gardien de vaches ?
Mais cette joie serait très insultante pour la plupart d'entre nous, ici.
Elle aura donc été de courte durée.
Enfin, une «
syntaxe hautaine» ? Un «
étalage de culture gratuit» ? (Gratuit, ça je te le concède
)
Des «
langues étrangères» ? Inconnues ? De toi ? Comment est-ce possible ? Et ce «
cuistre» outrecuidant,
valet et marmiton ?
Je ne pensais pas te faire autant envie.
Bon, au vrai, pour ma gouverne et bien d'autres, je préfère le Backstage aux Backrooms.
Reste ton «
que dire» ? Là, nous atteignons la maîtrise.
Que dire ? Que dire ? Mais rien, justement.
Oui, je te rassure, tu n'as rien dit.
Là, où certains parlent pour ne rien avouer.
Tout au plaisir de te lire.
Ou pas.
Allez, bécots sul muzo...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.