Solarfall, tu m'as fait pleurer de rire...
Solarfall, tu m'as fait pleurer de rire...Les photos sont absolument monstrueuses.
J'en profite, ce topic est plutôt sympa. En année de première (S), on avait une prof qui était un peu chiante - avec de gros problèmes d'égo, etc, etc...Je dois avouer que la matière ne m'intéressait pas, pas plus que l'ami qui était à côté de moi. C'était un premier avril (elle aurait du y penser, cette sotte).
Pendant les vingt premières minutes, on prépare le coup. J'écarte la chaise qui est à ma gauche, je vide mon sac (calculette !) et je le dispose bien par terre, entre les deux rangées de bureaux. Puis au milieu du cours, je me lève, fais mine de vouloir dire quelque chose, et je m'effondre par terre sur mon sac avec un gros bruit. Panique dans la classe ("Madame, madame, il ne se sent pas bien"), cris, je fais de jolis yeux blancs et fais mine de baver un peu...Personne n'était au courant à part mon pote, donc tout le monde a flippé. Finalement, j'ai entendu les gros pas de la prof qui partaient dans le couloir pour chercher quelqu'un ; je me relève donc et gueule : "bougez pas, poisson d'avril !".
Elle ne s'en est toujours pas remise ^^
En règle générale, je ne dégrade pas le matériel et ne suis pas trop vache, mais j'ai profité de mon année de terminale pour écrire des conneries dans mes devoirs de philo. Quelques extraits :
(transition)
"Il serait eronné d'imaginer que les rapports entre choix et pensée se font sur un unique plan. A la manière d'une route, en quelque sorte : celle-ci est constrituée d'asphalte, permettant ainsi à différents véhicules de circuler. Copendant, la présence de ce revêtement ne permettra pas la circulation d'un véhicule sans roues. Si la philosophie est la route, les choix avisés les véhicules et la pensée l'asphalte, voyons comment cette dernière peut également prednre la forme de clous susceptibles de perturber la prise de choix avisés."
avec comme note en dessous : "Bien que déroutante , cette analogie est nécessaire à la bonne compréhension de la suite du devoir : à problème délicat, démonstrations complexes - si, si".
Ou encore, en intro :
" << Il y a quelqu'un dans ma tête et ce n'est pas moi >>, déclarait solennellement le personnage principal d'un film d'horreur. S'agit-il d'un délire schizophrène, ou de la réflexion philosophique d'un homme scandalisé de ne pas avoir choisi d'être une loutre plutôt qu'un être humain?"
Remarquez, la prof n'a jamais vraiment apprécié ça.
Pour finir, un de mes meilleurs souvenirs : finir avec un ami dans le bureau d'un CPE mort de rire en nous entendant lui dire que l'on nous avait envoyé là pour avoir mangé les pommes d'un pommier poussant dans le lycée...