LORD RIFF a écrit :
En fait pour être bien vu que Backstage il faut :
-Ne faire que trainer sur G.com, ne pas aller travailler pour engraisser les sales patrons de droite.
-Comme on peu rester chez soi, on peut se permettre de rester à poil et donc éviter de mettre des fringues faits par des mômes pour H&M et dans le même temps ne pas mettre de cuir pour ne pas choquer les vegans.
-être célibataire pour ne pas être un GPS dégoulinant privant la femme de sa liberté individuelle.
-Jouer de la guitare est permis mais pas nécessaire...
J'ai bon là?
En fait pour être bien vu sur Backstage il faut :
- Défendre les gentils patrons de droite tout en passant sa journée de boulot sur G.com afin de les ruiner.
- Taper sur les vegans parce que s'occuper de "catégorisés", ça permet de cacher sa propre misère.
- (non je ne mêlerai pas les femmes aux élucubrations de G.com - elles sont mieux là où elles sont).
- Jouer de la guitare est permis mais seulement sur une Gibson...
J'ai bon là?
Glinglo a écrit :
Blow Up a écrit :
Elle a travaillé sur des collections prestiges de ce type pour H&M justement
Ce qui n'est pas rare en famille communiste...
Ouarf! quelqu'un qui a tout compris à la politique - Ca fait plaisir.
Ce forum regorge d'intelligence.
Dans les faits d'actualité intéressants, il y a la sortie d'un livre dans lequel l'auteur propose une approche intéressante pour comprendre le monde actuel. Henri Laborit est mort avant l’émergence des réseaux mais je pense qu'il aurait été séduit par cette approche.
Citation:
Une crise d’épilepsie est un phénomène au cours duquel plusieurs régions cérébrales se mettent à trop communiquer entre elles pour finalement échanger des informations pauvres et stéréotypées. Le fonctionnement de ces régions cérébrales perd en complexité, et les spécificités qui permettaient de les distinguer s’amenuisent. Un peu comme certaines rues commerçantes des sociétés mondialisées qui finissent par toutes se ressembler et ne permettent plus de savoir dans quel pays on se trouve.
Dans ce nouveau livre, Lionel Naccache compare la crise d’épilepsie cérébrale, microcosmique, et la crise, macrocosmique, que vit notre monde – qu’il nomme le « paradoxe du voyage immobile » : ce contraste entre, d’une part, une accélération et une facilité inédites des possibilités de voyager et, d’autre part, une atténuation sans cesse croissante de l’expérience de dépaysement.
À partir de cette analogie, il nous fait découvrir en quoi notre monde contemporain dispose d’un potentiel de conscience jamais atteint auparavant, mais également pourquoi il est exposé à des fragilités qui se manifestent dans les crises traversées aujourd’hui par les sociétés occidentales : mondialisation, retour du religieux, réduplication du monde à l’identique en plusieurs points du globe, crises des démocraties…
Cette approche inédite le conduit également à proposer un ensemble de mesures destinées à soigner et surtout à prévenir l’épilepsie des sociétés, de la même façon que l’on soigne et prévient l’épilepsie d’un individu.
Lionel Naccache est neurologue, professeur de médecine à la Pitié-Salpêtrière, directeur d’une équipe de recherche à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM). Il est l’auteur du Nouvel Inconscient, de Perdons-nous connaissance ? et d’Un sujet en soi, qui ont été de grands succès.
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