oliolo a écrit :
De grâce ! a écrit :
Citation:
Quitte à remettre un peu d'huile sur le feu (virtuel lui), l'Islam a quand même un énorme problème, son absence de clergé et d'orthodoxie.
Dans ce cadre, quelle peut être la légitimité d'un groupe modéré à dire que sa lecture du Coran est plus juste ou plus vraie que celle d'un autre groupe? Ces musulmans modérés que l'on croise tous les jours sont-ils statistiquement représentatifs à l'échelle du monde? Si leur lecture du texte sacré est soi-disant compatible avec les Droits de l'Homme et les lois de notre république est-elle pour autant acceptable aux yeux d'autres autorités religieuses?
Je crois que tu te trompes. Il n'est pas question d'absence de clergé, mais de manque d'unité dans le clergé.
J'en veux pour preuve que parmi les textes de référence de l'islam se trouvent les "hadith", dans lesquels s'expriment la révélation de Dieu. Ces hadith sont souvent "authentifiés" par des soi-disant proches du prophète.
Par conséquent, la légitimité de la parole de Dieu repose sur celle de celui qui la rapporte.
Il n'y a pas de clergé, pas de lecture officielle, unifiée et orthodoxe du Coran, il me semble que la "compétition" interne que se lancent les différents courants est ainsi une des sources du problème.
clergé : " ensemble des clercs d'une religion"
clerc : "celui qui se consacre à une Eglise"
L'islam a donc bien un clergé, qui manque d'unité nous sommes bien d'accord.
@ marlboro : tu es noir, on te représente avec un turban qui est en réalité une bombe. Pour toi ça veut dire "les noirs sont des terroristes"
Qu'est-ce que tu fais d'intelligent? Tu brûles avec tes copains noirs l'ambassade du pays dans lequel le journal a paru.
C'est comme si tu envoyais une lettre au journal pour dire "vous avez raison, on est bien des terroristes" ! :mdr:
Tu confirmes ce qu'on dit de toi.
Je ne dis pas qu'il n'y a pas discrimination, je dis que la réaction de ces dizaines de milliers de gens, de ces gouvernements (maroc, philippines) est navrante.
" Raphaël" 5e vendeur de disques en 2005. Pauvre France.