Ben là comme ça c'est assez technique, du coup je suis allé me renseigner sur un autre site :
Mon allergie à la thermo m'interdit de comprendre tout ce qui s'y raconte (les cycles...
Citation:
Les avantages :
- le silence de fonctionnement : il n'y a pas de détente à l'atmosphère comme dans le cas d'un moteur à combustion interne, la combustion est continue à l'extérieur du ou des cylindres. De plus, sa conception est telle que le moteur est facile à équilibrer et engendre peu de vibrations.
- le rendement élevé : fonction, il est vrai, des températures des sources chaudes et froides. Comme il est possible de le faire fonctionner en cogénération (puissances mécanique et calorique), le rendement global peut être très élevé.
- la multitude de "sources chaudes" possibles : combustion de gaz divers, de bois, sciure, déchets, énergie solaire ou géothermique...
- l'aptitude écologique à répondre le mieux possible aux exigences environnementales en matière de pollution atmosphérique. Il est plus facile de réaliser dans ce type de moteur un combustion complète des carburants.
- la fiabilité et la maintenance aisée : la relative simplicité technologique permet d'avoir des moteurs d'une très grande fiabilité et nécessitant peu de maintenance.
- la durée de vie importante du fait de sa "rusticité".
- les utilisations très diverses du fait de son autonomie et son adaptabilité au besoin et à la nature de la source chaude (du mW au MW).
Les inconvénients :
- le prix : le frein à son développement est aujourd'hui probablement son coût, non encore compétitif par rapport aux autres moyens bien implantés. Une généralisation de son emploi devrait pallier ce problème inhérent à toute nouveauté.
- la méconnaissance de ce type de moteur par le grand public. Seuls quelques passionnés en connaissent l'existence. Il faut donc en faire la promotion.
- la variété des modèles empêche une standardisation et par conséquent une baisse des prix.
- les problèmes d'étanchéité sont difficiles à résoudre dès qu'on souhaite avoir des pressions de fonctionnement élevées. Le choix du gaz "idéal", à savoir l'hydrogène pour sa légèreté et sa capacité à absorber les calories, se heurte à sa faculté de diffuser au travers des matériaux.
- les échanges de chaleur avec un gaz sont délicats et nécessitent souvent des appareils volumineux.
- le manque de souplesse : les variations rapides et efficaces de puissance sont difficiles à obtenir avec un moteur Stirling. Celui-ci est plus apte à marcher à puissance nominale constante. Ce point est un gros handicap pour l'industrie automobile