Dissolution des religions ??

Rappel du dernier message de la page précédente :
shlecks
MonsieurMalabar a écrit :
Mais si on ne croit à rien, pourquoi on est pas tous des punks à chiens?
Rien à foute de rien et puis c'est tout.

Pour moi ça sert à ça ce petit espoir qù après la mort il y a autre chose.



Personnellement, je ne crois en rien après la mort, mieux encore, j'espère une vraie fin, chacun son tour, il faut laisser la place à d'autres.

Car après notre mort, nous laissons des enfants, une société, des tas de choses qu'on a fait, et dont on peut être fier, donc la vie est loin d'être stupide parce que tout nous survit, notre existence n'est pas vaine, elle vaut la peine d'être vécue, ici et nul par ailleurs.

Des gens sont passés avant nous, ils ont construit une société dans laquelle nous vivons, ils ont transmis des choses, on en profite, chaque génération son tour.

Pour moi, c'est suffisant, je voudrais transmettre ce que la société m'a offert, c'est la raison pour laquelle j'ai envie de défendre les valeurs auxquelles je crois.

Mais qu'à ma mort, moi, c'est terminé, ça j'y crois complètement, je trouve cette perspective extrêmement enchanteresse, parce qu'on est comme les arbres, comme les fleurs, comme la nature, biodégradable cette précarité de notre existence en fait toute la saveur. Rien ne serait plus morbide que de croire comme certains en des éternels recommencements, prisonniers sur une roue qui ne cesserait de tourner, si il y a avait une définition de l'enfer, ce serait celle ci, l'ENFERmement dans un processus duquel nous ne pourrions échapper.

Quelle désastre écologique, si il fallait qu'on soit recycler quelque part, dans des sphères, imaginer des milliards et des milliards d'êtres ressuscités quelque part, pensez à ça, quel horreur !

Maintenant, si vous voulez croire à une vie au delà de notre mort, ça me ferait bien bizarre de voir Jésus, Mahomet, Bouddha, Moïse, Hitler, Staline, autour d'une table de jeu, avec une roulette au milieu, lancer des idées comme d'autres lancent des dés, et faute de compter les billets, compter les morts, victimes des idéologies qu'ils ont balancé sur terre..
"On n'a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie"
Céline.
Biosmog
  • Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
La question de la mort n'a aucun sens pour un athée et j'en suis. Mais même sans la perspective d'un au-delà, la spiritualité a un sens. Je ne crois pas à l'individualisme complet de l'expérience humaine et comme tu l'expliques, Shlecks, j'aime cette idée de transmission, mais d'une façon encore plus diaphane: cette idée que notre passage sur cette terre n'aura pas été un néant, qu'il restera quelque chose de nous, comme l'écho d'une belle action ou d'une belle mélodie, qui se répercutera en se modifiant et se répercutant en mille actions ou mille mélodies inspirées. En cela, si je crois fermement à la mort psychique et biologique, à la dissolution de la subjectivité individuelle, à la disparition de notre personne qui sera certainement oubliée rapidement, je crois en une forme d'éternité de l'esprit éparpillé. Je pense même que sans cette idée, la vie n'est pas possible: aucune valeur ne peut émerger, aucune action ne peut être menée avec confiance, aucun projet ne peut se faire s'il n'y pas un peu de cette spiritualité là, qui nous berce, d'une certaine manière, puisque c'est fort probablement quelque chose dont nous n'auront jamais la connaissance.
Vous battez pas, je vous aime tous
ZePot
  • ZePot
  • Vintage Total utilisateur
MonsieurMalabar a écrit :
Pour moi ça sert à ça ce petit espoir qù après la mort il y a autre chose.

Il y a une vie après la mort, hein. C'est juste la tienne qui s'arrête.
Olivier
L'enfoiré !
shlecks
Biosmog a écrit :
La question de la mort n'a aucun sens pour un athée et j'en suis. Mais même sans la perspective d'un au-delà, la spiritualité a un sens. Je ne crois pas à l'individualisme complet de l'expérience humaine et comme tu l'expliques, Shlecks, j'aime cette idée de transmission, mais d'une façon encore plus diaphane: cette idée que notre passage sur cette terre n'aura pas été un néant, qu'il restera quelque chose de nous, comme l'écho d'une belle action ou d'une belle mélodie, qui se répercutera en se modifiant et se répercutant en mille actions ou mille mélodies inspirées. En cela, si je crois fermement à la mort psychique et biologique, à la dissolution de la subjectivité individuelle, à la disparition de notre personne qui sera certainement oubliée rapidement, je crois en une forme d'éternité de l'esprit éparpillé. Je pense même que sans cette idée, la vie n'est pas possible: aucune valeur ne peut émerger, aucune action ne peut être menée avec confiance, aucun projet ne peut se faire s'il n'y pas un peu de cette spiritualité là, qui nous berce, d'une certaine manière, puisque c'est fort probablement quelque chose dont nous n'auront jamais la connaissance.


Une forme d'espérance, pourquoi pas.
"On n'a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie"
Céline.
MonsieurMalabar
Bref comme disait miterrand. Je crois aux forces de l'esprit.
Serieusement, d'education chretienne mais athee depuis. Je me suis mis a prier ardemment a la naissance de mon gamin, parceque ca a serieusement deconné, qu'on a eu une semaine entre la vie et le neant et qu'il y avait une chapelle à la maternité.
Pour moi Dieu represente depuis lors un dernier recours meme s'il est foutrement abstrait et detaché d'une religion quelconque.

Mais ouai sans ce vieux fond de religion et l'amour de l'art je serai certainement nihiliste et sans remord criminel.
Skelter : "Et dans 100 grammes de cacahuètes t'as autant voire plus de cacahuètes que dans 100g de viande."
le probleme avec les société modernes se situent souvent par la peur excessive de l'avenir.
L'avenir incertain, la volonté de l'homme de faire des reserves en cas de coup dur (argent retraites, frigo..)
la peur de se retrouver en danger.
bref de l'anxieté qui detruit son systeme nerveux et paralyse ses actions.

les religions apportent une reponse a tout ca, par exemple dans la religion catholique on soulage sa conscience de ses peché pour mieux avancer.

la religions hindouiste, une des religions les plus stable, inclue la meditation.

la priere est un moyen accessible de concentration sur ses objectifs ou ses desirs sans penser au pire qui est nefaste et enfin trouver la paix intérieure.

Aujourd'hui c'est la medecine les medocs et la psychotherapie (on parle a son psy).

Penser librement c'est bien, mais ouvrir la boite de pandore fait qu'on se sent de plus en plus impuissant face au monde (c'est la faute de..) et rien qu'a voir les diarhee verbales qu'on peux lire ou entendre on s'appercoit que sans repere on pense beaucoup (de maniere de plus en plus desorganisées) mais on agit peu pour ameliorer son quotidien.
bref si vous en êtes deja la, le cerveau en ebulition en mode overdrive, felicitation, vous etes anxieux

la volonté de dieu est independante des autres mortels. (.. si dieu le veux)
ils ne savaient pas que c'etait impossible, alors il l'ont fait.

la religion soigne l'esprit et donne de l'espoir irrationnel.
Du carburant necessaire a l'epanouissement de la vie des hommes.
heureusement qu'aujourd'hui il y a la FDJ..
shlecks
je crois aussi que la religion, c'est essentiellement de la crétinerie car elle n'ose pas dire ses vraies motivations qui ne sont pas si hautes qu'elle le prétend, j'irai jusqu'à dire le contraire, la religion soigne ce qui a de plus bas en l'homme.

Le rôle de la confession chez les catholiques, c'est je trouve se dédouaner à bon compte de forfaits réalisés dans la vie.

L'inhibition de l'action, là encore, au lieu d'agir efficacement en faveur de la paix de la monde, ou lutter contre les fléaux, encore la prière, qui remplace encore une fois l'action.

Notre finitude, ils n'ont pas le courage d'affronter la vie, on s'invente des perspectives, pour y croire dur comme fer, croire à un au delà gracieux, parce qu'ils n'ont pas le courage d'affronter la vie dans sa réalité.

La religion comme apartheid, nous ne sommes pas de leur religion, on a le mépris, parfois le mépris pousse au bucher, pousse à l'égorgement..

La religion comme superstition et folie, le sacrifice pour s'attirer l'amitié des dieux, ce sont des millions de personnes qui ont été ainsi sacrifiés ainsi, en amérique du sud, les aztèques, etc.. des holocaustes, des milliers de personnes pouvaient être sacrifiés en une seule journée.

Ce souci de pureté d'origine religieuse a poussé un mec comme hitler a sacrifié des millions de juifs, c'est une folie qui a sa racine dans le religieux, la pureté.

Cette pureté qu'on retrouve très fortement dans l'islam, qui pousse à voiler les filles pour préserver leur pureté.

Cet Islam qui ne supporte la cohabitation d'autres religions, impossible de pratiquer une autre religion que l'islam dans des dizaines de pays, d'ou les affrontements religieux, les purifications ethniques et religieuses en poussant les gens au départ, quitter notre sol, votre sang est impur.

Je pense que la religion ne soigne effectivement la folie des gens, mais de la plus mauvaise manière, soigner un mal par un mal plus grand encore, c'est horrible.

Apprendre le courage, être homme, s'accepter comme tel, refuser la peur et les marchés de dupe comme Ulysse qui refusa le marché de Calypso, voilà la grandeur de l'homme, la religion, au contraire, c'est la petitesse de l'homme.
"On n'a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie"
Céline.
Lao
  • Lao
  • Vintage Top utilisateur
  • #3683
  • Publié par
    Lao
    le 16 Août 2015, 12:57
Biosmog a écrit :
La question de la mort n'a aucun sens pour un athée et j'en suis. Mais même sans la perspective d'un au-delà, la spiritualité a un sens. Je ne crois pas à l'individualisme complet de l'expérience humaine et comme tu l'expliques, Shlecks, j'aime cette idée de transmission, mais d'une façon encore plus diaphane: cette idée que notre passage sur cette terre n'aura pas été un néant, qu'il restera quelque chose de nous, comme l'écho d'une belle action ou d'une belle mélodie, qui se répercutera en se modifiant et se répercutant en mille actions ou mille mélodies inspirées. En cela, si je crois fermement à la mort psychique et biologique, à la dissolution de la subjectivité individuelle, à la disparition de notre personne qui sera certainement oubliée rapidement, je crois en une forme d'éternité de l'esprit éparpillé. Je pense même que sans cette idée, la vie n'est pas possible: aucune valeur ne peut émerger, aucune action ne peut être menée avec confiance, aucun projet ne peut se faire s'il n'y pas un peu de cette spiritualité là, qui nous berce, d'une certaine manière, puisque c'est fort probablement quelque chose dont nous n'auront jamais la connaissance.


Citation:
« Nous avons tous en nous la capacité de modeler notre propre destinée. Cela, nous le comprenons. Mais, plus important encore, chacun de nous a une égale capacité à modeler le destin de l’univers. Vous trouvez cela plus difficile à croire. Pourtant, je vous affirme que c’est vrai. Point n’est besoin d’être le chef du Conseil des Sept. Point n’est besoin d’être un empereur elfien, un roi humain ou le chef d’un clan de nains pour exercer une influence significative sur le monde qui vous entoure. »
« Dans l’immensité de l’océan, une goutte quelconque a-t-elle plus d’importance qu’une autre ? »
« Non, répondez-vous, mais aucune n’a non plus la possibilité de provoquer un raz-de-marée. »
« Mais, argué-je, si une goutte tombe dans l’océan, elle y cause des rides. Et ces rides s’étendent. Et ces rides peuvent s’amplifier et venir se briser en écumant sur le rivage. »
« Comme la goutte dans l’immensité de l’océan, chacun de nous provoque des rides à mesure qu’il avance dans la vie. Les effets de nos actes – si insignifiants qu’ils nous paraissent – s’étendent au-delà de nous. Nous ne saurons peut-être jamais quelles conséquences lointaines aura eues sur nos frères mortels le plus simple de nos actes. C’est pourquoi nous devons rester conscients, à tout instant, de notre place dans l’océan, de notre place dans le monde, de notre place parmi les autres créatures. »
« Car si nous sommes suffisamment nombreux à unir nos forces, nous pouvons enfler le flux des événements – pour le meilleur ou pour le pire. »

Les portes de la mort, Tome 7 : La septième porte - Margaret Weis & Tracy Hickman



Citation:
C’est le problème aujourd’hui. Personne ne veut plus assumer la responsabilité de ses actes. Adam met sur le dos d’Ève l’incident de la pomme. Ève dit que c’est la faute au serpent. Et le serpent dit que c’est à cause de Dieu qui avait mis les arbres à cet endroit. Tu vois ce que je veux dire ? Personne n’assume plus ses responsabilités.

Les portes de la mort, Tome 6 : Voyage au fond du labyrinthe - Margaret Weis & Tracy Hickman
Pour moi, un guitariste qui croit en dieu d'une religion, c'est mauvais signe, ça fait du rock catholique, j'aime pas, ou ça ne fait pas de musique du tout vu que la musique est interdite par l'Islam.

Je crois au dieu des musiciens, lui me promet l'inspiration dont j'ai besoin, pas la vie éternelle dont je me moque comme de ma première chemise.... bien que j'y crois pas trop non plus... même à celui là.
Invité
shlecks a écrit :
je crois aussi que la religion, c'est essentiellement de la crétinerie car elle n'ose pas dire ses vraies motivations qui ne sont pas si hautes qu'elle le prétend, j'irai jusqu'à dire le contraire, la religion soigne ce qui a de plus bas en l'homme.

Le rôle de la confession chez les catholiques, c'est je trouve se dédouaner à bon compte de forfaits réalisés dans la vie.

L'inhibition de l'action, là encore, au lieu d'agir efficacement en faveur de la paix de la monde, ou lutter contre les fléaux, encore la prière, qui remplace encore une fois l'action.

Notre finitude, ils n'ont pas le courage d'affronter la vie, on s'invente des perspectives, pour y croire dur comme fer, croire à un au delà gracieux, parce qu'ils n'ont pas le courage d'affronter la vie dans sa réalité.

La religion comme apartheid, nous ne sommes pas de leur religion, on a le mépris, parfois le mépris pousse au bucher, pousse à l'égorgement..

La religion comme superstition et folie, le sacrifice pour s'attirer l'amitié des dieux, ce sont des millions de personnes qui ont été ainsi sacrifiés ainsi, en amérique du sud, les aztèques, etc.. des holocaustes, des milliers de personnes pouvaient être sacrifiés en une seule journée.

Ce souci de pureté d'origine religieuse a poussé un mec comme hitler a sacrifié des millions de juifs, c'est une folie qui a sa racine dans le religieux, la pureté.

Cette pureté qu'on retrouve très fortement dans l'islam, qui pousse à voiler les filles pour préserver leur pureté.

Cet Islam qui ne supporte la cohabitation d'autres religions, impossible de pratiquer une autre religion que l'islam dans des dizaines de pays, d'ou les affrontements religieux, les purifications ethniques et religieuses en poussant les gens au départ, quitter notre sol, votre sang est impur.

Je pense que la religion ne soigne effectivement la folie des gens, mais de la plus mauvaise manière, soigner un mal par un mal plus grand encore, c'est horrible.

Apprendre le courage, être homme, s'accepter comme tel, refuser la peur et les marchés de dupe comme Ulysse qui refusa le marché de Calypso, voilà la grandeur de l'homme, la religion, au contraire, c'est la petitesse de l'homme.


Ce souci de pureté est peut-être bien une des caractéristiques majeures de la perversion ( au sens clinique)... ce pourquoi il n'est pas exclusivement réservé aux religieux (au sens étroit) ... et que tu le retrouveras aussi bien chez les athées que chez les croyants
Biosmog
  • Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
Il faudra que nous explique le lien que tu fais entre obsession de la pureté et perversion, c'est pas pour te coller, c'est juste que dans mon esprit ce sont deux notions qui appartiennent à des univers diamétralement opposés.

La notion de pureté a partie liée avec la notion de sacré, il n'y a pas de conception de la pureté sans conception du sacré, le sacré étant ce qui est à part, ce qu'on ne peut toucher sans rendre impur. Du point de vue de la psychopathologie, la perversion est un refus de l’altérité, refus que l'autre est autre et séparé de moi, donc justement refus du sacré.
Vous battez pas, je vous aime tous
Larry Carton
ESP69 a écrit :
ça ne fait pas de musique du tout vu que la musique est interdite par l'Islam.


Bah bien sûr que non !!
Il y a même un festival de musique soufie au Maroc chaque année.
Il faut arrêter de confondre les nazislamistes de DAECH and Co avec L'Islam traditionnel qui lui n'est pas une religion pire qu'une autre ou avec la mystique musulmane.

Par ailleurs le sacré s'oppose au profane.
Ce qui est sacré c'est ce qui est séparé.
Le pur et l'impur c'est une dialectique différente.
Une bonne paire de PAF pour ta gratte et une bonne paire de baffles pour ta tête...

The baltringue connection
Invité
Biosmog a écrit :
Il faudra que nous explique le lien que tu fais entre obsession de la pureté et perversion, c'est pas pour te coller, c'est juste que dans mon esprit ce sont deux notions qui appartiennent à des univers diamétralement opposés.

La notion de pureté a partie liée avec la notion de sacré, il n'y a pas de conception de la pureté sans conception du sacré, le sacré étant ce qui est à part, ce qu'on ne peut toucher sans rendre impur. Du point de vue de la psychopathologie, la perversion est un refus de l’altérité, refus que l'autre est autre et séparé de moi, donc justement refus du sacré.


Le petit autre existe pour le pervers : il est le témoin nécessaire de la jouissance absolue à laquelle le grand Autre l'invite à se faire le siège ou l'agent.

La pureté en question est justement celle de cette jouissance qui n'est pas bornée (= qui n'est pas phallique - phallus pris au sens symbolique et non imaginaire)

Ce que tu dis (sur l'inexistence du petit autre) signifie en fait que la parole du petit autre n'a aucune valeur à ses yeux... tant qu'il (l'autre) ne reconnaît pas cette jouissance sans limite il est considéré par le pervers comme un pleutre ou un lâche qui se dissimule sa vérité intime.

Ou alors tu exprimes l'idée que le pervers n'a aucune empathie pour sa victime, ce qui est exact. Mais ton propos est alors sous tendu par une morale (d'origine judéo chrétienne)

Puisque tu évoque le "sacré", tu dois te souvenir que "sacer" signifiait également "maudit" en latin, conformément au fait que le "dionysiaque" était le sommet du sacré , avant le renversement que lui ont fait subir les religions moralisantes (judéo chrétiennes).... le sacré gisait dans l'érotisme débridé et dans le sacrifice sanglant

En ce moment sur backstage...