Utilisation de la gamme mixolydienne dans un blues

Rappel du dernier message de la page précédente :
fonnet
  • fonnet
  • Custom Total utilisateur
  • #30
  • Publié par
    fonnet
    le 26 Juin 2007, 22:49
Karmatotal a écrit :

PATRICK LARBIER a écrit :
Chacun joue ce qu'il entend, sans distinction de style.


C'est très juste, bien sûr, néanmoins on revient aussi au problème de l'oeuf et de la poule car pour entendre certaines notes sur une grille il faut parfois se forcer d'abord à les jouer. C'est aussi comme cela qu'elles rentrent dans l'oreille et font partie de notre vocabulaire musical.


D'où l'intérêt de l'écrit ! Avec les notes devant les yeux, tu peux essayer de les "bouger" hors instrument, de rejouer le tout et de voir ce que ça donne sans rester cantonné à des réflexes d'oreille ou de doigtés.
Cours de musique sur Toulouse
http://formationmusicale.wordpress.com/

"Rock The Casbah" : colo musique et cinéma en Haute-Garonne
http://toulouserock.blogspot.com/
zigmout
  • zigmout
  • Vintage Total utilisateur
    Cet utilisateur est un musicien enseignant professionnel
    ModérateurModérateur
digression de modo
essayez de faire attention quand vous utiliser la fonction "quote"...si une balise n'est pas fermé ou alors qu'il ya un par exemple un quote d'ouvert et 2 fermeture ben ca cré des bug sur la page...donc verifier bien que un quote ouvert=un quote fermé et inversement...ca evite de passer derriere pour corriger
merci
Invité
  • Invité
Le lydien b7 :

sa 11# n'est pas la même chose que la quinte bémol de la gamme Blues. la 11# se dresse véritablement, sans idée de chromatisme, ou de sentiment Blues. On a la sensation particluière du Lydien. La triade D sur gamme de Do est un exemple de cette sonorité lydienne.

Personne ne songerait à jouer une triade de D sur C7, premier accord d'un Blues en Do.

Pour bien comprendre l'intérêt du Lydien b7 sur le degré IV du Blues, il faut d'abord bien isoler le travail du lydien b7.

En ce moment sur théorie...