travis76 a écrit :
Qui est Papy ?
Merci encore.
Bigre, j'ai fais une faute de frappe. Je voulais dire "Ré mixo sur D5 (avec papy
fa#)"
travis76 a écrit :
A partir de quel distance, on considère un intervalle proche ou éloigné ?
Qu'appelles tu une tension, comment se construit-elle ?
Quand je dis éloigné, ca veut dire harmoniquement. Par exemple, le degré I et V en power chords sont dans une même tonalité de passage, c'est ce qui les "lie".
travis76 a écrit :
martini a écrit :
En revanche, l'enchainement Eb5->D5 est bien un bII->I (de D5).
Cela va dire que cet enchainement n'est plus en G mixo mais une modulation en D ?
Pour analyser un morceau, il est souvent plus simple de considérer un accord comme un degré I passager. Par exemple, cliché new orleans en do majeur:
| C | A7 | Dm7 | G7 |. Le A7 est en fait le V de Dm7. Le Dm7 (degrés II de do) est considéré momentanément comme un degrés I (et c'est d'ailleurs comme ça que l'oreille le percoit).
travis76 a écrit :
martini a écrit :
il y a des accords en chromatismes comme Ab5, Eb5 ou Db5
Comment emploi-t-on ces accords en chromatismes (plutôt temps fort, temps faible ou sans importance) ?
Est ce pour sonner "out" ou pour amener une ambience "sombre" ?
Temps fort ou temps faible, c'est à toi de voir si tu veut insister dessus ou pas. Je pense qu'en général on reste pas trop dessus, il faut quand même un certain "repos", une stabilité. Par exemple sur ce morceaux, le D5, stable, arrive sur un temps fort.
Est-ce que ça sonne "out" ou "sombre", ou encore "diabolique" ou encore... libre à toi d'interpréter ça. En tout cas, si tu avais écris cette musique en 1700, tu aurais été mal vu..."travis76, le buchet, travis76, le buchet, travis76, le buchet, ...". T'aurais pu choisir un pseudo plus facile à scander quand même !