Solo facile et moyen impressionnant

bah voilà je vais rebondir là dessus pour donner suite à ta proposition rapport au sujet dont auquel je m'intéressais.
On replante le décor, je suis Gliveur, j'arrive parfois à aligner 3 notes qui font jolies, surtout si je les travaille bien avant. Mais ayant eu l'occasion de remplacer au pied levé un guitariste dans un groupe, juste pour 3 répètitions, à jouer des grilles simples, avec les accords, que j'avais sous les yeux (Where is my mind des Pixies, I shot the Sherif, Boulevard of Broken Dreams de Green Days et même y'aurait eu un BLues de base que cela aurait été la même chose), je me suis retrouvé comme un c*n à ne savoir improviser bêtement que sur la penta, en essayant de rester calé et sans coller de pain et c'était pas très intéressant ni très joli. Et comme tu proposais quelques trucs et astuces ben je suis tout ouïe.

Je sais que c'est en sciant que Léonard De Vinci et que c'est avec le "travail" et quelques connaissances théoriques qu'on peut au premier coup d'oeil repérer la gamme essentielle d'une grille et les changement de tonalité, avant même d'entendre le morceau.
Je sais aussi que le jeu en arpèges est intéressant, en suivant les accords de la grille, on délie les arpèges de chaque accord, mais en direct live.. faut bien connaître tout ça sur le bouts de la corne.

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Ok là ça peut aller, on connaît les schémas que la mineure penta par exemple, en La, en Mi, mais la positions des notes, des "fondamentales" par exemple, et le positionnement relatif des tierces quintes et autre septièmes.



travailler des plans, des phrasés, les entendre, les automatiser, mais ca n'est plus de l'impro, c'est du relargage.



alors là ?? un rail de coke ?



coller aux accords de la grille, oser les substitutions, entendre les résolutions pour insérer une gamme altérée et cultiver la foule.



Ne pas faire la grimace, bien au contraire, montrer qu'elle était voulue. Si tu y crois, ils y croiront, tu reviens dessus et tu l'agrémentes d'un bend qui la tendra vers plus d'équilibre, et tu passeras pour un génie.



Les utiliser de manière judicieuse.



aimer les contre-temps, maitriser le ternaire, connaître tout le répertoire d'Al Di Meola.



savoir faire respirer le solo, amener les parties rapides, les introduire puis les conclure, ce qui est parfaitement l'inverse de qu'on fait avec une mignone.



Ben oui, ben justement, on ne la voudrait pas comme seule amie, l'agrémenter de la note bleue, oser la sixte, une 7° majeure, la savoir jouer partout sur le manche.



Faut être bien mélodiste à la base. On peut raconter un truc en le préparant mais en improvisant... il faut je pense sentir la structure de la grille. Ca va pas forcément bien loin : shredder sur les résolutions, penser à coller un peu aux accords.



Ca c'est une nature...

mais je pense qu'il faut avoir en réserve quelques phrasés bien maitrisés, jouables sur un bateau, en équilibre sur un pied, sur un filin tendu d'une cheminée à l'autre, les yeux dans la fumée.

Il faut travailler personnellement, improviser chez soi.

Et oser tenter.

Si c'est un morceau connu, pourquoi ne pas travailler chez soi le solo d'origine ?



je serais bien aise de ton retour

il y a une chose trés importante sans ce que j'appel la pure impro spontané , c'est biensur le travail de l'oreille (reconnaitre les accords ,q ue ce soit mineur majeur, les intervals ) ...et surtout l'intuition de ce qu'il va arriver par la suite (toujours une petite fraction d'avance, a force de jouer on gagne en experience )....tout cela ne reste que trés "theorique" dans mon cas ou honnêtement le "travail" est initié mais est térs loin d'être terminé ...car je suis loin de tout entendre, mais c'est vers cela qu'il faut tendre pour être un bon improvisateur (on ne jou aps avec des recette, mais avec son oreille en temps reel ...et biensur un maitrise consequente de son instrument,q ui demande des millliers d'heure de pratique...) ...et cela demande un boulot colossale, sinon on reste dans ce que j'appel de la "supercherie" (dont je suis malheuresement adepte par faute de moyen et de temps ) .......le probleme d'un solo purement improvisé....soit il risque de sonner trop scolaire , avec les arpges des accords la bonne gamme ect , soit trop toufu en note pour combler les vides ou l'on survole trop l'harmonie , bref on s'en sort souvent sur un "blues" , ou des cadences rabaché( car on est en terrain connu) sur des prtogression plus complexe c'est bien sur plus compliqué...l'aspect rythmqiue et le placement étant encore un autre truc a maitriser......bref tout cela pour te reconforter ......qu'une bonne "impro" non preparé qui sonne reelement moi j'en entend pas trop souvent , on reste souvent dans des clichés.....pout l'aspect" fraicheur" faut repasser .....pour ca que je ne suis pas un fan de l'impro total que ce soit chez moi....et chez les autres

un truc simple DRJ....bosse bien ta gamme majeur , retourne la dans tous les sens , ca ouvre enorment de possibilité ( par exemple tu utilise ta penta en mineur, tu repere la position majeur "equivalente" et ca te permet d'alterner plan plus expressif avec des descente de gamme plus veloce, c'est simpliste mais c'est un debut.... ) ......et prepare des lignes melodqiues "principal" pour tes leads et brode autour...un minimum de preparation me semble necessaire pour evoluer dans ses leads...et faire des choses interessante....

bon on reste néanmoins dans du "blabla" le plsu important étant de jouer, jouer , jouer ....puis ta ka els composer tes solos ! non d'une pine de caribou.

Je considère que jouer live c jouer ce dont on a envie sur le moment on laisse son expressivité s'exprimer.

Après comme le dit kida improviser sur de smorceaux connus à grille simple c bcp plus facile. Exemple: on te demande de soloter sur Knockin on Heaven's door.... Bon là tu dis g la penta mineure de Mi (G majeur) ya déjà des petits plans blues mais expérience si lon commence comme ça on enchaine vite les plans.

Qd j'improvise je cherche la tonalité principale par exemple ici ça serait Gmajeur... à ce moment là g les schémas des 7 positions de la gamme majeur dans les doigts et à ce moment je me dis qu'il faut plus facilement commencé le solo sur des notes de la gamme majeur et jouer la mélodie en début de solo, s'assoir sur une batisse solide

Ensuite une fois qu'on a joué avec les tierces quintes sixtes on peut se lancer dans un solo plus énervé en y incluant plus deffet de jeu des bends tenus ou un vibrato plus prononcé. Une fois le solo commencé on peut enchainé sur des plans plus rapides à sur une gammes hexatoniques (oui bon d'accord la gamme blues).

A ce moment ça se complique un peu, car il faut sentir la progression des accords pour pouvoir placer la sixte sans se planter==> si c loupé un bend d'un demi ton assez long fera laffaire

là je pense que tu arrives en fin de solo et il faut terminer: 2 voies finir par un passage véloce et tenir une belle note à la fin (en bend ou vibré ou les 2) ou suivre la cadence du morceau en terminant sur les caractéristiques des accords=> je parle de tt ça mais en pratique une fois que tu joues les accords tu sais bien quelles sont les notes qui vont coller

Voilà comment jimprovise LIVE et comment jimprovise ici

Hope it helps

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Tout me paraît clair, merci M'Sieur

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Mmmmh, très intéressant... je vais regarder cela.... de très près.

je capte pas grand chose mais je vais faire un effort cela me semble bien intéressant tout cela..discute prise en cours avec (pick et DrJ)

je vais télécharger le fichier merci Pickasso

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Fais toi plaisir

On a à peu pres la meme approche en tous cas. Tout devient bien sur plus complexe et fouilli quand on le fait sur les 5 positions avec tous les arpèges, les subst, etc. Mais c'est bien la même approche cerebrale

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Décidément Pick, tu es génial en "coach global"

J'avais raté ces posts pour cause de vacances, je suis ravi d'être tombé dessus par hasard..