10:15 a écrit :
rapideyemove a écrit :
Cela dit, une belle touche en Rio ça calme direct les yeux, à défaut des oreilles. .[/i]
J'en discutai une fois avec un pote luthier qui avait un morceau de Rio qu'il voulait me montrer.. un "truc de ouf" une "tuerie", blablabla... son Rio je l'ai trouvé moche, sans caractere avec un teinte assez terne... "ouais mais c'est ru Rio bordel !!"
Si on fait abstraction de la hype autour du Rio (sa rareté et l'aspect historique associé aux guitares d'une certaine époque) y a tout plein de palissandre TRES proches, les pailssandres y en a des dizaines et des dizaines d'essences
et au sein d'une même essence (genre Pau ferro) des tas de variantes du clair au foncé, avec des vinage très marqués ou non, etc...
Y a des palissandres absolument magnifiques et pas cher (le brazilian à 10 balles
)
(...)
Bien d'accord pour les autres Palissandres, le Cocobolo par exemple, ou la Madagascar...s'il ne faut retenir que ces deux noms.
C'est une attention (et sans doute une déformation...) qui vient du monde des acoustiques où le rôle du bois (choix, coupes, mise en œuvre / travail sur les épaisseurs de la table...) est bien plus important, et ce n'est pas seulement qu'un avis personnel, enfin il me semble.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.