Oghkhood a écrit :
Forcément, les corneilles croates passeraient encore, mais des grenouilles coites, ca c'est inconcevable !
D'ailleurs a propos de grenouille, ta prose n'est pas sans me rappeler certain pilote virtuel ulterieurement proprietaire d'une jolie Martin .... si tant est que la Martin se laissat posseder tant rebelle est le poete.
Mais bon, si le sort voulait que mon intuition ait raison, sache ausi qu'un coutelier a la triste reputation hante aussi ces pages virtuelles
putain, apres ca je vais ramer pour passer pour quelqu'un de sain d'esprit
Et
, pour la santé de l'esprit...
Mais ni pilote, ni virtuel.
Mes Nazareth ?
Un héritage d'O.M.
(«Orchestra Model» ? Non, «Old Man») et de ses Pennsylvanies, pas une propriété...
Quant au coutelier, mystère...
Le seul que j'ai en tête est mort en 1948.
Il donnait vie, à la fois, à un rémouleur et à un ange gardien.
C'était en 1934. Le film s'appelait
Liliom. L'auteur Fritz Lang...
L'ange en portrait de couteau Antonin Artaud.
Peut–être un des plus grands poètes français, avec le roumain Benjamin Fondane...
Il n'a pas eu le temps de connaître une seule des deux héroïnes de Fullerton.
Au fait, à force de dépasser notre entendement, il finira bien un jour par nous rattraper...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.