En même temps, les Hercules qui garantissent la totale innocuité des mousses de protection qui les garnissent ne sont pas si chers que cela (je viens d'acheter encore récemment trois Hercules GS 415B sur le nénette...pour 30 € chaque, je ne sais plus où, mais ce n'était pas chez Toto, beaucoup plus "expensive" pour le même modèle).
En tout cas, ce modèle garanti (je ne crois pas qu'ils le soient tous) de la marque n'attaque ni les vernis nitro de mes électriques ni les vernis au tampon, encore plus fragiles, de mes acoustiques.
Et ça c'est fair, fair, very fair !
Autrement, oui, bien sûr, les chiffons coton (lavés au savon de Marseille et super bien rincés), on les a tous utilisés : pas chers et très très efficaces pour protéger toutes les zones de contact entre les stands "douteux" et les guitares.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.