Marshallgreg a écrit :
jerem37 a écrit :
Et comme ça a été déjà dit, les grattes sont réglées au poil de millimètre près, limite elle était parfaitement accordée en la deballant du carton
Et à mon avis l'asso P90 neck/single coil bridge de Tele plus "classique", doit sonner grave, si le simple chevalet envoie un minimum les kohms pour équilibrer l'truc tout en gardant le petit twang qui va bien mais avé le petit surplus de gras et de patate en plus
(...)
Je te confirme que le mix P90 / single m'a mi sur le cul.
Mais mon préféré reste le p90 solo ... Je n'avais essayé, et je l'ai adopté dès que je l'ai branchée, c'est une tuerie.
Pour info le radius est un 12", et la largeur au sillet 42mm.
Il est super agréable dans tous les compartiments de jeu.
Par contre un petit bémol pour Bacchus (il en faut bien un quand même ^^), elle m'a été livrée en étui souple , de bonne facture ceci dit, mais pour la qualité de l'instrument j'aurais aimé un étui case rigide ...
Rien à ajouter sur l'essentiel : manche, réglages / équilibre d’exception entre micros, jouabilité immédiate à la livraison.
Idem, mais dans l’un peu moins bien en effet, l’étui semi-rigide, signé "Bacchus", bien protecteur mais dont les bretelles se décousent vite, en priorité sur la partie épaule.
Un bon étui SKB, rigide mais léger, un peu plus de 100 zorros à l’époque, a pallié ce désagrément.
J’ajouterais simplement la qualité du frettage, le bord de la touche légèrement chanfreiné et qualité du vernis, toutes choses qui font que le manche, on l’oublie vite, très vite, tant il est serviable, soyeux, hospitalier.
Enfin, sans doute une particularité Handmade Deviser de l’atelier d’Aksa / Nagano (Bacchus, Momose, Seventy Seven... etc...), le manche de ma T-Master «Aqua Timber» fait 43mm, soit 1mm de plus que toutes les autres TM dont j’ai eu connaissance.
Soit, avec le radius de 12’, une sorte de Les Paul neck sur une Tele like, mis à part le diapason de 25.5’.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.