De ce point de vue, culture, vulture, le parallèle est clair.
Et les Beatles ne sont pas les seules victimes de ce dernier charnier qui sent bon, à l’horizon, dans le désert, pour les vieux becs usés.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.