Les Beatles

Rappel du dernier message de la page précédente :
Slyonline2
lartistafred a écrit :
Version coupée au montage de 'Let it be'



Tu m'en fais un beau de Bidochon a 99% de matière GRASSE !


Let it Boeuf
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...
lartistafred
Slyonline2 a écrit :
lartistafred a écrit :
Version coupée au montage de 'Let it be'



Tu m'en fais un beau de Bidochon a 99% de matière GRASSE !


Let it Boeuf


J'aime le saucifflard et le camembert
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
Doc Loco
Amusant et super résultat

In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
stach-stach
Sir Paul, 82 balais, et loin d'être ridicule sur scène
étonnant

Les vieux qui tik tokent, c est ban direct
Doc Loco
stach-stach a écrit :
Sir Paul, 82 balais, et loin d'être ridicule sur scène
étonnant



Dans les commentaires, certains trouvent que sa voix est bien meilleures que les années précédentes, et je trouve aussi. Bon, après, c'est le début du concert, faut voir après une heure mais n'empêche - respect.

C'est amusant aussi de se dire que ce groupe est celui avec lequel il est resté le plus longtemps maintenant .
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Slyonline2
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...
Doc Loco
... chier ... je vais quand même devoir m'abonner à Disney + ...

Plus sérieusement: quand tu lis une interview de n'importe quel artiste américain devenu célèbre fin des sixties ou durant les seventies, ils ont tous une chose en commun: ils étaient devant leur TV à regarder le Ed Sullivan Show et ils ont tous eu une chose qu'on ne peut pas appeler autrement qu'une révélation au sens biblique. Tout l'avenir d'une génération s'est joué là en quelque minutes. Et je n'exagère pas.

Alors, tout celà monté et retravaillé par Scorcese (un des cinéastes les plus amoureux du rock de l'histoire) ... Disney me voilà .
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Slyonline2
1964 - Les Beatles aux USA - L’œil du cyclone de la Beatlemania.
De la pure folie collective et un phénomène qui a mon avis, ne se reproduira plus jamais dans l'histoire de la musique populaire.
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...
rapideyemove
Doc Loco a écrit :
(…)
Plus sérieusement: quand tu lis une interview de n'importe quel artiste américain devenu célèbre fin des sixties ou durant les seventies, ils ont tous une chose en commun: ils étaient devant leur TV à regarder le Ed Sullivan Show et ils ont tous eu une chose qu'on ne peut pas appeler autrement qu'une révélation au sens biblique. Tout l'avenir d'une génération s'est joué là en quelque minutes. Et je n'exagère pas.(…)




Oui, le Ed Su Show, c’est indiscutablement le grand ancêtre des 50’s et des 60’s avec les ombres tutélaires d’Elvis ou des Fab Four pour ne se limiter qu’a eux.

C’est, en revanche beaucoup moins vrai pour les 70’s, même si la légende Ed pouvait survivre dans les mémoires, les journaux, les conversations et leurs inévitables ou bienheureuses nostalgies.

Les 70’s, aux USA pour le moins, ce furent bien plutôt les affaires de Don et Don, le Don Kirshner's Rock Concert et le Soul Train de Don Cornelius

Mais faut reconnaître que cela nous écarte un tant soit peu du sillage des Beatles.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Doc Loco
rapideyemove a écrit :
Doc Loco a écrit :
(…)
Plus sérieusement: quand tu lis une interview de n'importe quel artiste américain devenu célèbre fin des sixties ou durant les seventies, ils ont tous une chose en commun: ils étaient devant leur TV à regarder le Ed Sullivan Show et ils ont tous eu une chose qu'on ne peut pas appeler autrement qu'une révélation au sens biblique. Tout l'avenir d'une génération s'est joué là en quelque minutes. Et je n'exagère pas.(…)




Oui, le Ed Su Show, c’est indiscutablement le grand ancêtre des 50’s et des 60’s avec les ombres tutélaires d’Elvis ou des Fab Four pour ne se limiter qu’a eux.

C’est, en revanche beaucoup moins vrai pour les 70’s, même si la légende Ed pouvait survivre dans les mémoires, les journaux, les conversations et leurs inévitables ou bienheureuses nostalgies.

Les 70’s, aux USA pour le moins, ce furent bien plutôt les affaires de Don et Don, le Don Kirshner's Rock Concert et le Soul Train de Don Cornelius

Mais faut reconnaître que cela nous écarte un tant soit peu du sillage des Beatles.


Je me suis mal exprimé je crois: je parlais uniquement du moment historique du passage des Beatles au Ed Sullivan show, qui a marqué au fer blanc tous les futurs artistes US de la fin des années 60 et des 70s.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Slyonline2
Un jeune Billy Gibbons certainement par exemple...

Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...

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