Bon, fidèle à ses habitudes, le Dylan est pas très bavard.
C'est marrant de voir que même si ce mec a "tout" perdu en 10 ans que ce soit sa voie, ses talents de compositeur génial, son look et sa "gloire" il lui reste néanmoins son côté fascinant. Dylan ne tombe dans aucun cliché car il surprend à chaque fois qu'il réalise quelque chose dans le monde de la musique, que ce soit en bien ou en mal (même si on en parle de moins en moins xD).
C'est marrant de voir aussi comment une grande partie de l'auditoire global musical peut aujourd'hui se désintéresser d'un mec qu'on a tant adulé il y a 25 ans (nombre de nouveaux groupes qui émergeaient au dessus de la scène punk dans les années 70 se revendiquaient fils de Dylan...). Mais ce mec se fout de tout et à la fois de rien, il est à la fois attentif et curieux vis à vis de tout ce qui lui est proposé de voir et d'entendre et à la fois distant et discret, insaisissable... C'est vraiment l'homme des paradoxes, qui aura écrit à la fois des textes si géniaux et si mauvais...
Vendredi soir, je n'ai pas vu un seul quidam muni d'un tee shirt à l'effigie de vénérable maître bob... J'ai croisé Deep Purple et même System... (c'est dire ça devait vraiment être le dernier tee shirt propre en stock...). Bob nous a fait grâce d'un époustouflant pantalon disco à paillettes avec son chapeau très "sombrero". Tout aussi immobile qu'à son habitude il ne s'est pas embarrassé vis à vis des fans qui criaient à tort et à travers "Bloowwwiiiiinnnnnn!!!!". Monsieur a joué ce qui lui a plu et comme il l'a voulu (c'est à dire planté et planqué derrière son clavier) balayant d'un revers de la main les modestes attentes de ses fans les plus assidus. Encore une fois le bonhomme s'en fout (où le fait très bien transparaître) mais à quoi bon, c'est ce qui fait qu'on t'aime bob.
Merci en tout cas pour ces 2h parfois un peu chiantes et monotones mais on s'en est tout de même contenté, on avait pas le choix de toute manière...
C'est marrant de voir que même si ce mec a "tout" perdu en 10 ans que ce soit sa voie, ses talents de compositeur génial, son look et sa "gloire" il lui reste néanmoins son côté fascinant. Dylan ne tombe dans aucun cliché car il surprend à chaque fois qu'il réalise quelque chose dans le monde de la musique, que ce soit en bien ou en mal (même si on en parle de moins en moins xD).
C'est marrant de voir aussi comment une grande partie de l'auditoire global musical peut aujourd'hui se désintéresser d'un mec qu'on a tant adulé il y a 25 ans (nombre de nouveaux groupes qui émergeaient au dessus de la scène punk dans les années 70 se revendiquaient fils de Dylan...). Mais ce mec se fout de tout et à la fois de rien, il est à la fois attentif et curieux vis à vis de tout ce qui lui est proposé de voir et d'entendre et à la fois distant et discret, insaisissable... C'est vraiment l'homme des paradoxes, qui aura écrit à la fois des textes si géniaux et si mauvais...
Vendredi soir, je n'ai pas vu un seul quidam muni d'un tee shirt à l'effigie de vénérable maître bob... J'ai croisé Deep Purple et même System... (c'est dire ça devait vraiment être le dernier tee shirt propre en stock...). Bob nous a fait grâce d'un époustouflant pantalon disco à paillettes avec son chapeau très "sombrero". Tout aussi immobile qu'à son habitude il ne s'est pas embarrassé vis à vis des fans qui criaient à tort et à travers "Bloowwwiiiiinnnnnn!!!!". Monsieur a joué ce qui lui a plu et comme il l'a voulu (c'est à dire planté et planqué derrière son clavier) balayant d'un revers de la main les modestes attentes de ses fans les plus assidus. Encore une fois le bonhomme s'en fout (où le fait très bien transparaître) mais à quoi bon, c'est ce qui fait qu'on t'aime bob.
Merci en tout cas pour ces 2h parfois un peu chiantes et monotones mais on s'en est tout de même contenté, on avait pas le choix de toute manière...
