rapideyemove a écrit :
lo-fi reup a écrit :
oeil mouvement rapide : je raconte n'import quoi en effet
Tout à ma surprise et à mon amusement, je n'ai bien évidemment pas prétendu que c'était n'importe quoi, non plus ; ne sachant toujours pas lequel des romans du Gustave était « bof », au jugé...
Pour les braves héros ou anti–héros déjantés, et au cas où cela ne serait pas déjà fait, vous pouvez toujours lire les romans de Carl Hiaasen, parmi lesquels je retiendrai surtout :
L'arme du crocodile (Tourist Season, 1986)
Pêche en eaux troubles (Double Whammy, 1987)
Cousu main (Skin Tight, 1989)
Miami Park (Native Tongue, 1991)
Strip Tease (idem, 1993)
De l'orage dans l'air (Stormy Weather, 1995)
Jackpot (Lucky You, 1997)
Mal de chien (Sick Puppy, 2000)
Queue de poisson (Skinny Dip, 2004)
Croco–deal (Nature Girl, 2006)
Ou l'on apprend, par exemple, comment un tueur particulièrement irascible arpente les rues de Miami avec une tête de pittbull restée résolument accrochée à son bras après qu'il l'eut découpée au couteau pour se débarrasser du poids mort venu ainsi l'attaquer avec un optimisme primesautier.
Ou encore, comment un ancien gouverneur de Floride a quitté sans prévenir, sur une soudaine illumination, Tallahassee pour retourner à l'état de nature dans les Everglades et récupérer les carcasses des oppossums écrasés par les chauffards.
Ou enfin comment un indien en fuite s'enfonce dans ces mêmes Everglades avec une vieille Gibson Super 400 sur le dos.
En route, on découvrira aussi de quelle manière un barracuda déteste les Rolex en or qui pendent au bout de bras plongés avec paresse, dans l'eau claire des Keys.
dans le genre bras cassés je conseille les bouquins de donald westlake : culte