Vous et les livres...

Faut pas déconner quand même.

8O

Houellebecq


Quant aux critiques dans les 3 pages qui suivent sur qui doit avoir le Goncourt .....

Ouah, il a qu'a pas avoir choisi un nom a la con.

Ça c'est envoyé!
C'est comme ça le style Houellebecq?
Ah je ne sais pas, je n'en ai jamais lu...
(j'ai d'autres choses à lire avant, je crois que le jour où je n'aurais plus rien à lire de plus important que Houellebecq, je serais trèèèès trèèèèèès vieux.)

Je te comprends moi je n'aime pas la soupe de légumes, je n'en gouterai que plus tard après avoir mangé des gencives de porc. en revanche je m'offre le loisir d'être le rebelle qui va à l'encontre des masses. Je n'en mange pas. On ne me la fait pas à MOI!

C'est une réponse un peu saugrenue...

Remplaçons par exemple, « soupe de légumes » par « Houellebecq » (pas mal trouvé!), « gencive de porc » par « Balzac », je dis bien par exemple hein... (d'ailleurs c'est un peu sévère!) et enfin « gouter/manger » par « lire », et voyons ce que ça donne :



(le diable sait ce que tu as voulu dire, mais j'essaie de trouver un sens à ta parabole... j'espère me tromper parce que ça a l'air nul)

Mais j'en ai mangé, j'en mange, et je n'ai pas fini d'en manger de la gencive de porc!
J'en ai des tooooooooonnes à manger et j'ai un appétit d'ogre...

Et vu le genre de caca que donne la soupe de légumes (là tu peux remplacer « caca » par « influence littéraire » en fait je parle de ta réponse, c'est astucieux hein?) ça ne donne pas trop envie d'en manger.

Un livre posthume de Jaime Semprun paraîtra au mois de janvier prochain intitulé Andromaque je pense à vous !

Jaime Semprun est notamment l'auteur de Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable.

Vous auriez mis qui au juste à la place de Houellebecq ?
En fait je trouve vos critiques assez nazes...

Ah ah, il t'a bien rabatu le caquet

Ceci-dit, j'aurais eu du mal à répondre à Jeh Jeh pour ma part, je lis très peu d'oeuvres contemporaines ou alors j'en suis plutôt déçu.
Ou je les lis comme des divertissements. Je ne dis pas que lire un Begbeider est déplaisant. C'est juste que ça ne mérite pas un prix. Donc plutôt que de filer le Goncourt à Houellebecq, autant ne pas le filer tout court...

Par contre, je propose qu'on envoie des mails à canal + pour que Mobutu remplace Ali Badiou comme "critique litéraire" du grand journal

"Quasi"?
Beurp's, tu as lu sa traduction de l'autobio de Dee Dee?

Pas que le style ait été génial à la base, mais là, on est propre du pendant littéraire de la viande hachée.

Pour en revenir un peu aux livres, je viens de lire la série de contes "le monde sans les enfants" de Claudel, un peu creux et un peu facile, il est plus doué dans le glauque, et ses prix me semblent mérités, au moins pour "les âmes grises".

Sinon troisième tentative pour "Le voyage au bout de la nuit", ce coup ci ça passe, et c'est vrai que c'est du bon. J'avais essayé étant ado, puis un plus tard et je n'avais jamais accroché.

j'ai préféré mort à credit que le voyage

sinon je me fais l integrale kessel c'est decidé , dommage qu il soit souvent oublié c'est un grand ecrivain

"l'écrivain qui en peu de mots parvient à transmettre une sensation est le meilleur" - Pío Baroja (1872-1956)

Le début est tout aussi risible.
Il y a tant de réels critiques littéraires sur ce forum, voire d'écrivains que l'on ne peut que s'incliner.

Epoque de merde, je ne lis plus aucun roman français actuel et petite-bite et je sais pourquoi maintenant, puisqu'on consacre des médiocres, y'a assez à faire avec la Pléaide, bande de cons, France pourrie.

Ou est le bec (de lièvre) écrit des choses particulièrement ininteressantes, et que la Goncourt Academy consacre cette face d'employé, ne m'étonne pas plus que ça, vivement que je me barre et vite, putain.

Il y a une façon de le dire : "je n'aime pas et ne comprends pas son succès". Mon avis est strictement contraire au tien. Vais-je alors assurer qu'il est l'écrivain dont le monde a besoin, tant sa vision est grande et ses détracteurs minables?

Les deux positions sont si catégoriques qu'elles en sont profondément ridicule.