Redstein a écrit :
lemg a écrit :
A part ça, la phrase d'Heinlein est du même niveau que les sorties des détracteurs maladifs du genre.
Remarque, Heinlein n'a pas fait que dire des conneries. Il se murmure que certaines auraient été couchées sur papier.
Toi, on voit que tu l'as lu en français...
Et toi tu vas te calmer avec la VO über alles.
Ce que j'ai lu (en français) d'Heinlein m'a plu, sache-le. J'ai aimé Starship trooper par exemple, parce qu'il est beaucoup moins basique et va-t-en guerre qu'on veut bien le penser.
Mais sache aussi que comme bon nombre d'auteurs de
l'âge d'or, qui pondaient de la copie à ne plus en pouvoir (Silverberg, quelqu'un ?), Heinlein nous a gratifié de pas mal de déchets. Le dire n'est pas remettre en cause un genre dans son intégralité.
Ceci posé, je dois admettre que cette période n'est pas ma préférée du genre.
Tu veux que je développe ? Salopé pour salopé, on peut y aller sur ce topic.
Dick, j'en ai lu des tonnes à dix-huit ans. Sans doute trop, maintenant j'ai du mal. D'autant que ceux qui me restent à lire sont souvent ceux de sa période
mauvaise descente des années 70. Siva, faut aimer.
Asimov, OK pour s'intéresser au style, mais je n'ai pas commencé par lui et passant après nombre d'autres, il m'a paru faiblard. Jamais réussi à finir Fondation.
Bradbury et Matheson sont les deux qui dominent cette époque, avec les meilleurs de Silverberg (là, il faut faire le tri).
Donc grosso modo, en SF j'affectionne plutôt les Ballard/Priest/Brunner (pas tout) pour les anglais, Pelot, certains Brussolo et Curval pour les français, ainsi que les russes genre Strougatsky. Ce ne sont que quelques noms parmi les plus connus, et qui sont tous plus ou moins à la limite de la SF et de la générale.
Les martiens et les cycles type space-operas ne me sont supportables qu'en version déglinguée (Brown, Adams - tu veux de la traduction ratée, en voilà une).
La fantasy, même en déglinguée, ça ne passe pas.
Maintenant, retiens bien ça pour comprendre mes prochains messages.
lemgement lemg