Lucie a écrit :
Ouais j'ai fait ça à une époque n'empêche
qu'est ce qu'on peut être con étant ado boutonneuse ( sauf que j'avais pas de bouton mais vous voyez ce que je veux dire)
Bref le sujet est le tabac et vous.
Je n’ai pas lu tout le topic mais sur les 4/5 dernières pages je me range plutôt du côté de Lucie.
La dureté des mots est au moins proportionnel à la réalité.
Il ne faut pas oublier que le Tabac mais aussi les drogues par extension sont avant tout des commerces qui brassent des sommes d’argent inimaginables. C’est à vomir !
Et tout cela en se servant de personnes comme vous et moi, le citoyen (et encore là, je suis gentil) moyen. On est dans la logique de consommation, de superficialité.
La première cigarette, c’est bien pour faire grand ? Avoir une reconnaissance sociale ? Donc une faiblesse d’esprit. C’est lamentable à dire mais nous ne sommes pas élevé dans une logique où la force des esprits individuels fait la force de la collectivité. C’est vraiment le contraire qui se passe. A plusieurs reprises, il est fait allusion au parcours social. Il est force de constater qu’on toujours affaire à une sorte de faiblesse (qu’on a tous plus ou moins).
On a tous des GAS, ici ?
Bref le sujet n’est peut-être pas de faire une leçon de sociologie ou de psychologie.
Pour ce qui est de ma position, je dois avouer que j’ai vraiment du mal avec toutes les formes d’addiction entraînant une obligation de subir ou de faire subir aux autres ce que l’on fait.
Le clivage fumeur/non fumeur est de plus en plus fort et on s’appercois que les lieux publiques sont pour la plupart déserté par les non fumeurs… Pourquoi ? Parce que c’est invivable ! Après tout les fumeurs font ce qu’ils veulent mais ne devraient en aucun cas entraver la liberté des autres (et je pense surtout aux enfants !)
Ensuite d’un point de vu plus personnel, je déteste çà et il m’est déjà arrivé de refuser des rencarts avec des nanas juste à cause du tabac. Ca vous donnera, une idée.
Au fond, chacun fait ce qu’il veut à conditions de respecter autrui (ce qui la plupart du temps n’est jamais le cas, dans un sens, comme dans l’autre)