Rivera a écrit :
Lucie a écrit :
Ouais j'ai fait ça à une époque n'empêche
qu'est ce qu'on peut être con étant ado boutonneuse ( sauf que j'avais pas de bouton mais vous voyez ce que je veux dire)
Bref le sujet est le tabac et vous.
Je n’ai pas lu tout le topic mais sur les 4/5 dernières pages je me range plutôt du côté de Lucie.
La dureté des mots est au moins proportionnel à la réalité.
Tout le monde devrait avoir droit à une deuxième chance dans la vie. A vous lire, tout ce qui est valable c'est la loi du plus fort. Au diable les faibles !!!
Et je me demande si justement ce ne sont pas de tels discours qui finissent par en faire sombrer certains... toujours leur demander plus, toujours plus, encore plus, assumer plus, supporter plus, jusqu'au jour où... On peut se poser la question.
L'addiction à la drogue c'est mal, l'addiction au tabac c'est mal ! Mais l'addiction au vin ou à la guitare c'est pas/moins grave ? pourquoi ? parce qu'on a l'impression de ne pourrir/tuer personne ?
Quand on joue de la guitare
(ou autre instru), on a quand même toutes les chances de faire chier ses voisins
(tout le monde n'a pas la chance d'être dénué de voisins). Quel musicien s'interroge de savoir si le voisin supporte d'écouter du "bruit" plusieurs fois par semaine et ce pendant des heures ? Parce qu'on lui bouffe quand même de son temps de calme, de repos et de sérénité à ce voisin si on y pense.
Quant au vin, après avoir bu un verre de vin
(comme avec beaucoup d'alcool) l'haleine est aussi dégueulasse que celle d'un fumeur après sa clope et je doute que ça fasse plaisir aux interlocuteurs à qui l'on s'adresse. Ça ne va pas les tuer, certes mais ça va juste être très désagréable pour eux et du fait, ça les pourri quand même au final.
Bref, on peut trouver des tonnes d'exemples du même accabit et on se rend compte que personne n'est jamais totalement blanc mais on parvient tous à se trouver des tonnes d'excuses toutes plus valables les unes que les autres pour tout et n'importe quoi.
Pour pouvoir critiquer, encore faut-il être irréprochable.
Enfin, c'que j'en dis, ça changera pas la face du monde d'façon.