Doc Loco a écrit :
20 century boy a écrit :
Doc Loco a écrit :
Dans un tout autre genre: hier, par curiosité, j'ai jeté un oeil sur un film japonais de 1972 "On l'appelait Scorpion" (probablement parce que dans la critique le nom de Tarantino revenait, disant qu'il était fan). Ben j'ai été assez scié: je ne connais que le cinéma japonais récent ou bien les grands classiques à la Kagemusha (Kurosawa & co) mais ça m'a franchement surpris de voir que les japonais réalisait déjà des films aussi dynamiques et "mal-pensant" en '72 ! Et d'un autre côté, tout un pan des influences de Tarantino y sont évidentes, jusque dans les cadrages, le rythme et la musique. Décidemment, vive Arte.
Avec les titres français, je ne sais plus trop lequel de la série c'est mais le mieux c'est le 4 ( "urami bushi") ou l'esthetique est incroyablement soignée.
Le cinéma japonais c'est comme le cinéma italien ( d'ailleurs, ils se sont mutuellement influencés), ça regorge de perles dans tous les styles.
C'est bien celui là (si c'est une photo du film)
.
La chanson titre de ce film est sur la BO de Kill Bill d' ailleurs
Je vois que je ne suis pas le seul a apreçier le cinema d' exploitation des 70's
Je reve parfois de revenir en arriere pour quelques séances grindhouse au Brady , que je n' ai pas eu le loisir de connaitre , sauf par les temoignagnes de vieux loups de mer et autres photos d' epoque
Pour tous ceux qui veulent en savoir plus sur le cinema de genre en general et sur le bis en particulier , Mad Movies a sortis un HS qui developpe tous ces courants avec films references , perles oubliées de la blaxploitation , du rape and revenge , de la nunsploitation , des Wip , etc etc etc
Mon conseil DVD du soir : 13 Tzameti
Film francais en noir et blanc , assez reçent ( 2002 a la louche de crepier ) , qui raconte a la maniere des vieux polars , presque sans dialogue , et surtout sans 2nd degres aucun , une histoire etrange de paris clandestins et de jeu ou il est question de roulette russe et d' un quidam entrainé bien malgres lui a jouer sa vie pour des raisons qui lui echappent
"Mais ouvres les yeux Don Guillermo " - mjolk