SuperHappy a écrit :
WillieTheWimp a écrit :
Enfin, tout ça est bien gentil, mais ça n'a rien à voir avec la cruauté. Tous les gros pleins de muscles ne sont pas forcément cruels, et je pense pas que la SVT puisse expliquer ce qui se passe dans le cerveau d'un homme qui se construit en étudiant les conditions de vie.
Taratata, je maintiens le fait que la cruauté est lié aux conditions de vie.
Un exemple "pour-faire-joli":
Un chiot se faisait battre par des enfants. Arrivé a l'age adulte, la haine guidait ses papattes, et a chaque fois qu'il croisait un enfant, il lui retirait un joli bout de jean. (véridique, j'ai du utilisé une bouée un bon moment, pour m'assoir)
Allez, vas y, détruit mon raisonnement, j'ai la boite de kleenex a coté.
Edit: j'ai parlé d'un chien, mais sa peut s'appliquer a un homme...
Je tiens pas a detruire ton raisonnement. De toutes façons, je pense que la cruauté n'est pas innée, donc par conséquent, acquise (enfin sinon, je vois pas d'autres moyens de l'attraper, si ce n'est par innéation ou pour acquisition).
Mais je pense juste que tu peux pas analyser ça comme un bête problème de SVT où un effet produit une cause (musculation --> muscles), et que ça fait intervenir des choses plus complexes liées a la personnalité de l'individu lui-même et de ses expériences.
Alors bien sûr, évidemment que l'environnement extérieur agit sur la construction d'une personne, mais ton exemple pourrait très bien etre contredit par un proverbe qui dit "à père avare, enfant prodigue; à femme avare, galant escroc". Un défaut peut très bien en emmener un autre opposé a s'installer en réaction.