teezer a écrit :
Les cyclistes sur la route...
Mon dieu..
Je sais pas si c'est le vélo qui les rends c.., ou si c'est parce qu'ils sont c... qu'ils font du vélo, mais alors ce sont des vraies plaies.
Qu'il soit seul ou accompagné de tous ses copains cyclistes, le cycliste ne peut pas rouler sur le coté, sans gener tout le monde.
C'est impensable pour eux.
Et quand, tu as le malheur des les klaxonner, deja la premiere fois, ils font semblant de ne pas entendre, et quand tu recommences, ils te regardent en se foutant de ta tronche.
Je pensais comme toi, jusqu'a ce que je me mette à prendre le vélo pour faire mon trajet au bureau.
J'en suis venu à constater que :
_les bords de routes sont truffés de debrits (clous, bout de metal, verres etc)
_les automobilistes qui respectent le 1m legal de distance ne sont pas nombreux
_paradoxalement, plus tu roule au milieu de la route, plus les voitures se decalent de toi pour doubler, et inversement, plus tu fais l'equilibriste sur la droite, plus les mecs vont te coller..
_dès que t'as le malheur d'utiliser un trottoire (interdit aux velo, il faut le rappeler) aussi fin soit il, les voitures ne se soucient plus du tout de mettre 1m entre elles et toi. (perso, c'est meme là que je me suis fait toucher par un rétro)
mais surtout :
_les automobilistes qui te double à moins de 1m à fond, en grillant une ligne continue, sont bien plus enervant, con et dangereux que les cyclistes qui roulent au milieu de la route.
Du coup, j'en suis venu à pratiquer la chose suivante dans les montés : je roule en me decalant un peu plus sur la gauche. Les voitures sont alors obligée de ralentire à ma vitesse, controler que personne arrive en face, se decaler sur la gauche (et là ils respectent presque tous le 1m
) doubler à vitesse raisonnable et se rabattre en remettant un coup de bourre.
Ce qui au final, est moins dangereux pour moi, pour eux et pour ceux qui arrivent en face.
Apres, il y'a toujours un con pour klaxonner parcequ'il n'a pas pu me doubler à fond de 5ème et a donc perdu 40 précieuses secondes. Je lui fait alors comprendre par le regard et un geste universel, qu'il n'est pas plus usager de la route que je ne le suis.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969