Colonel Blues a écrit :
Déja :
- arrêter de prendre l'avion et de chercher le bonheur à l'autre bout du monde, le tourisme est une vérole
- ne pas succomber à l'appel de ces merveilleuses croisières de ploucs en paquebots géants
- faire la cuisine et ne pas acheter tout ce qui vient de l'agro-alimentaire en plats cuisinés et produits transformés
- faire du vélo (pas électrique) et marcher à pied au maximum
- acheter de la bouffe locale et de saison, qui a besoin de fraises en décembre ?
- stopper net l'achat de gadgets chinois inutiles et bourrés de piles au lithium
- aller faire le maximum de ses courses dans les petits magasins des centres-villes qui sont en train de crever, aller chercher le pain en bagnole est un non-sens
- ne plus acheter de fringues et d'objets "jetables" ou à "obsolescence programmée"; on achète plus cher, soit, mais beaucoup moins, et à terme c'est beaucoup plus économique et qualitatif, si si…
J'en oublie, mais la démarche de base est posée là.
Ce n'est pas tous les jours facile, il faut réfléchir à chaque geste de notre consommation mais c'est vraiment essentiel à mes yeux de commencer par là !
A vous !
C'est en effet un bon résumé je trouve, et un point de départ plutôt facilement abordable.
Après, il faut surtout arrêter les sophismes (si la solution n'est pas parfaite, on ne fait rien) et de s'attendre à pouvoir tout faire parfaitement.
Ce qui me fait sourire au fond, c'est que les personnes souhaitant s'investir personnellement dans une démarche écologique, subissent des réticences et des "attaques" proches de celles menées à l'encontre des vegans, essentiellement par ceux qui se voilent la face.
Je ne sais plus quel scientifique disait que de toute manière on allait dans le mur, mais qu'il restait à déterminer à quelle vitesse.