Marxisme,communisme... LE topic

Rappel du dernier message de la page précédente :
jules_albert
publiées en 1978, ces lignes sont plus que jamais d'actualité pour décrire la feinte-dissidence du citoyennisme néogauchiste :

«On peut affirmer avec certitude qu’aucune réelle contestation ne saurait être portée par des individus qui, en l’exhibant, sont devenus quelque peu plus élevés socialement qu’ils ne l’auraient été en s’en abstenant.
Tout cela ne fait qu'imiter l'exemple bien connu de ce florissant personnel syndical et politique, toujours prêt à prolonger d'un millénaire la plainte du prolétaire, à la seule fin de lui conserver un défenseur.»
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La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
MIA WALLACE
jules_albert a écrit :
Lao a écrit :

Le problème c'est que tous ces gens croient bien faire au début. Puis rapidement leur principal objectif devient le maintien au pouvoir Ce qui est d'autant plus facile quand le peuple est aveuglé par cette image merdique d'homme providentiel (ce qui fonctionne à gauche comme à droite).

le léninisme est une forme de fascisme, donc si ces gens croyaient bien faire c'est dans la même mesure que les hitlériens ou les mussoliniens pensaient bien faire, c'est-à-dire dans leur perspective bien particulière de prise du pouvoir, de destruction du mouvement de libération du prolétariat (les léninistes ont toujours méprisé les formes d'organisation prolétariennes : assemblées, autodéfense, mandats impératifs) et d'imposition de la terreur pour aboutir à un capitalisme d'état policier.



signalons aussi le livre important de maximilien rubel, marx, critique du marxisme.


Sur la fin de sa vie, Marx eut une curieuse phrase : "Tout ce que je sais, c'est que moi je ne suis pas marxiste".
Ce qu'il voulait dire, Maximilien Rubel nous l'explique dans ce livre fondamental, où il sépare radicalement Marx des idéologies, régimes et partis qui se sont réclamés de son nom. Marx "fondateur du marxisme" ? C'est un mythe. Et sur ce mythe repose la plus grande mystification du XXe siècle : faire prendre pour une société socialiste ce qui n'était qu'une nouvelle forme de domination.

préface de louis janover : http://www.plusloin.org/pluslo(...)l.pdf


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"regarde-le moi ce communiste, je t'enverrais tout ça à Moscou"
Lao
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    Lao
    le 22 Juin 2019, 23:54
Oui on peut parler de mystification.
Pourquoi tant de haine ?
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Biosmog
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Que le leninisme et le stalinisme n'aient pas grand chose à voir avec la pensée de Marx, ce n'est pas très original (à part pour MIA). Et dévoyer à ce point une phrase de Marx, qui parlait d'un mouvement politique précis (des sociaux-démocrates français de 1880), montre que les spontex ne sont pas en reste des trotskistes pour déformer l'histoire et la pensée.
Vous battez pas, je vous aime tous
Mr Park
jules_albert a écrit :
feinte-dissidence du citoyennisme néogauchiste


Kamoulox?
Lao
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  • Publié par
    Lao
    le 23 Juin 2019, 17:58
Biosmog a écrit :
Que le leninisme et le stalinisme n'aient pas grand chose à voir avec la pensée de Marx, ce n'est pas très original (à part pour MIA). .....

Malheureusement, pas seulement MIA; il faut avoir un peu étudié les idéologies politiques pour avoir ce type de compréhension. Le résultat c'est que la confusion marxisme-léninisme-stalinisme-maoisme est partagée par pas mal de monde.
D'autant plus que le verbiage ci-dessus n'attire pas vraiment à chercher à comprendre.
jules_albert
Sartre est enlisé dans une relation pédagogique à un marxisme qu'il a reçu à travers le léninisme. Quand les contradictions du léninisme sont devenues trop criantes (le stalinisme), Sartre a décroché. Depuis, il a raccroché.

Entre-temps, il est devenu existentialiste, faute d'être marxien et d'oser critiquer EN MARXISTE l'ordre léniniste et stalinien. Les bolcheviks lui ont toujours paru INVESTIS de la mission marxiste. Il ne s'est troublé que devant leurs excès ; exactement comme ceux qui se troublent seulement devant les "excès" de Staline et n'osent pas critiquer son État, Sartre se troublait devant les erreurs du bolchevisme sans oser critiquer l'erreur bolchevique.

C'est que seule une adhésion "critique" au bolchevisme lui a assuré sa confortable situation d'intellectuel de gauche, qu'il aime et ressasse comme Beauvoir ressasse ses aventures. Ce couple burlesque est une incarnation presque trop belle de la petite bourgeoisie "de gauche". En étant "CONTRE" l'ordre établi au nom d'un ordre autre qui ne libère rien, on peut se satisfaire d'être "CONTRE" pour ainsi dire au ciel --> pétitions, interviews, pièces de théâtre, romans, etc., et des livres idéologiques où la philosophie peint son gris sur du gris.

Franchement, quel est l'apport de Sartre à la critique de la totalité ? Zéro.

Notons en passant comme Sartre considère implicitement Garaudy et d'autres qu'il ne nomme pas, comme des marxistes, alors qu'ils ne sont que les idéologues du capitalisme bureaucratique d'État. (C'est une erreur vulgaire de penser que le capital, c'est de l'argent. Ce qui définit le capital, c'est qu'il est du travail accumulé, propriété d'une classe, et quelques autres choses encore ; ce n'est en tout cas pas qu'il soit de l'argent.)
Sartre en est venu à développer indéfiniment un dialogue coupé du vrai parce qu'il croit dialoguer avec le marxisme quand il dialogue avec des imbéciles staliniens. Il redécouvre d'une façon tordue des petites vérités du marxisme et croit être original. Il n'est original que par rapport à Staline, et devant Marx, il n'est que petit - un petit maître qui répète en bégayant, et prend son interlocuteur pour ce qu'il n'est pas.

Il n'est pas simplement égaré et ennuyeux. En poursuivant ce dialogue hors de propos, il légitime l'idéologie bureaucratique puisqu'il en fait un interlocuteur ; il affirme qu'elle est marxiste, et erronée. Il fait d'une pierre deux coups, en reproduisant le grand mythe contemporain : les bureaucrates sont les marxistes et ces marxistes font bien des erreurs.

Sartre est un centriste qui cherche le centre de deux mensonges. Sa pensée est complètement mystifiée.

J.-P. Manchette, Journal, 7 janvier 1968
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MIA WALLACE
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La bourgeoisie parisienne qui se la jouait aussi maoïste , c'est sur que côté "critique de la totalité" Sartre a surtout fait l'aveugle
la dernière poignée de main avec Aron est arrivée bien trop tard pour éviter le naufrage idéologique
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jules_albert
The need for a revolutionary orientation


http://autonomies.org/2018/10/(...)tion/

M.A. : Oui, Podemos a critiqué le système à la télévision mais ils font désormais partie du système et ils le prouvent par leurs actes. Ce que fait Podemos - ce qu'a également fait Syriza en Grèce, la coalition de gauche portugaise et Mélenchon en France - c'est prendre la pose et démobiliser. Le noyau central de Podemos est stalinien, mais certains de ses militants sont des activistes des mouvements sociaux, de défense des droits au logement, des activistes "light", des écologistes modérés....


- Un projet révolutionnaire aujourd’hui n’aurait plus pour sujet central la classe ouvrière. Aujourd’hui, je vous cite, "l’ouvrier est la base du capital, pas sa négation". Comment peut-on préfigurer une révolution ? Si c’est encore possible.

M.A. : Je crois qu’il y a des éléments subversifs; je ne dirais pas révolutionnaires, parce qu’il n’y a pas de révolution s’il n’y a pas de conscience, et celle-ci prendra beaucoup de temps pour atteindre les masses car la pensée critique aujourd’hui est loin d’elles. Les organisations de médiation, les débats, les publications, les conférenciers, les écrivains, les journalistes font encore défaut; il manque encore une pensée formatrice et surtout des lecteurs et des animateurs qui ne se laissent pas corrompre. Mais il est clair qu’il y a deux facteurs à prendre en compte dans la formation d’un sujet révolutionnaire : les exclus du marché du travail ou les auto-marginalisés; ceux qui, même s’ils ne sont pas exclus, l’abandonnent et se mettent à vivre en marge. Et puis les classes paysannes non industrialisées. Les classes paysannes traditionnelles, non seulement autochtones, mais aussi villageois, communaux, ou simplement agriculteurs, sans terre, avec des terres, avec peu de terres; ils sont l’axe de la défense du territoire, la lutte de classe du XXIe siècle.
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jules_albert


texte intégral en espagnol (la version française se trouve sûrement quelque part) de leçons d'une défaite, promesse de victoire de grandizo munis, membre de la 4ème internationale (trotskyste) : https://bataillesocialiste.fil(...)a.pdf

"La contrerévolution ne fut pas seulement menée par le fascisme, mais aussi par la "république démocratique et populaire" qui empêcha de mener à bien la révolution sociale."


extrait de la page 209 :

En examinant l’antagonisme “culture contre barbarie” concrètement, dès lors que les deux extrêmes se rapportent aux éléments constitutifs de la société et à ses tendances progressives et régressives, on en précise les bases sous cette autre forme : vers la culture par le socialisme ou vers la barbarie par le capitalisme. Mais dans ce cas, la première vérité est classe contre classe; il ne peut y avoir d’intérêt à la rejeter, il faut au contraire la promouvoir et en faire prendre conscience les masses dont la tâche historique est de mettre fin à la barbarie capitaliste. En niant cela, le stalinisme indiquait clairement, bien avant que la guerre civile n’éclate, sa décision d’empêcher les masses de suivre la voie révolutionnaire. Et on a pu voir comment il ne recula devant aucun crime pour le faire. Derrière la fameuse culture stalinienne se cachait, à la manière de l’autruche, la barbarie capitaliste et ses gouvernements respectifs.

Je donnerai encore une autre preuve de la finalité bourgeoise préméditée du front populaire. À la veille de la guerre civile, les partis staliniens étant déjà totalement emprisonnés dans le collaborationnisme décrété par le VIIe Congrès, le dénommé Varga a affirmé qu’en Espagne on ne pouvait même pas parler de révolution socialiste. Il y a consacré un numéro spécial de Correspondancia Internacional. Avec des données que tout le monde connaît, il a montré ce que tout le monde savait, que l’Espagne est un pays arriéré industriellement et avec beaucoup de tares féodales, en raison d'une révolution bourgeoise manquée. Cette vérité frappante, qui aurait servi à un parti révolutionnaire pour organiser l’alliance entre le prolétariat urbain, le prolétariat rural et les paysans pauvres, était utilisée par Varga et le parti stalinien pour assujettir ces trois classes à une révolution bourgeoise aussi fallacieuse qu’objectivement impossible. Le document en question, comme tout document stalinien de l’époque, est imprégné de ce cliché : puisque la révolution démocratique (bourgeoise) n'a pas été faite, le prolétariat ne peut pas aspirer à prendre le pouvoir et commencer sa révolution. La révolution socialiste n’est pas à l'ordre du jour; les conditions historiques font défaut; il faut d’abord faire la révolution bourgeoise.
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Blow Up
"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
Lao
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    Lao
    le 27 Oct 2019, 15:12

Mia va être déçu.
Pourquoi tant de haine ?
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
jules_albert


"Harold Isaacs qui écrit de si beaux paragraphes, de si excellentes phrases très bien traduites par René Viénet. Le livre est décidément beau et d'un profond intérêt." - J.-P. Manchette, Journal, page 438


‎"Ce livre, bien connu de tous les historiens de la Chine moderne et du mouvement révolutionnaire, qui fut publié pour la première fois en 1938 en Angleterre et légèrement remanié d'une édition à l'autre, est enfin traduit en français. Ouvrage passionné, mais aussi appuyé sur une documentation importante et souvent à l'époque ignorée des documents d'archives privées, des notes de Sneevliet et de Treint , il constitue une contribution de premier ordre à l'étude de la révolution chinoise de 1925-27 et plus particulièrement des effets désastreux de la politique que le Komintern imposa aux communistes chinois. A l'épreuve du temps, il n'a guère vieilli." (Pierre Souyri, 1968 ) ‎



La tragédie de la Révolution chinoise est le récit de la défaite de la révolution prolétarienne de 1925-1927, celle de Canton et de Shangaï. Harold Isaacs, qui a vécu le drame sur place et participé à cette «tragédie», analyse impitoyablement la politique stalinienne et cherche à montrer la responsabilité du Comintern dans la débâcle de la dernière des révolutions bolcheviques, le retournement de Tchang Kaï-chek contre les communistes et l'installation d'un gouvernement nationaliste. Publié pour la première fois en 1938 avec une préface de Trotsky, ce travail historique a été entrepris dans un but de «démystification». Il porte la marque d'une querelle et d'une époque : celle de l'affrontement Staline-Trotsky. Mais la passion qui l'anime n'enlève rien à sa valeur documentaire. Salué par la critique internationale, à chaque réédition, comme un ouvrage indispensable, il fait partie des quelques livres fondamentaux que le public français doit aujourd'hui connaître pour comprendre l'évolution de la Chine contemporaine.
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jules_albert

éloge de l'anarchie par deux excentriques chinois du troisième siècle

"Dans ces polémiques chinoises, on voit la critique radicale portée par les réfractaires taoïstes s'opposer aux arguments des défenseurs confucianistes de l'Etat et des commodités techniques de la civilisation.

On constatera que le fond du débat conserve toute son actualité, alors que le progressisme est plus que jamais l'ultime justification de la soumission aux conditions existantes : "Seul le progrès est la solution aux dégats du progrès", répète encore aujourd'hui n'importe quel journaliste quand il veut balayer les objections à la poursuite de l'artificialisation du monde."
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jules_albert
jules_albert a écrit :


http://autonomies.org/2018/10/(...)tion/


- Un projet révolutionnaire aujourd’hui n’aurait plus pour sujet central la classe ouvrière. Aujourd’hui, je vous cite, "l’ouvrier est la base du capital, pas sa négation". Comment peut-on préfigurer une révolution?

M. Amoros : [...] il y a deux facteurs à prendre en compte dans la formation d’un sujet révolutionnaire : les exclus du marché du travail ou les auto-marginalisés; ceux qui, même s’ils ne sont pas exclus, l’abandonnent et se mettent à vivre en marge. Et puis les classes paysannes non industrialisées. Les classes paysannes traditionnelles, non seulement autochtones, mais aussi villageois, communaux, ou simplement agriculteurs, sans terre, avec des terres, avec peu de terres; ils sont l’axe de la défense du territoire, la lutte de classe du XXIe siècle.

voilà qui a de fortes résonances avec le dernier roman de houellebecq, par exemple.

(précisons que les propos d'amoros sont antérieurs à la parution du roman de houellebecq)
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jules_albert

oskar anweiler, les soviets en russie

Les conseils d'ouvriers et soldats de 1917 servirent aux bolcheviks de tremplin pour une conquête du pouvoir. Ils ligotèrent la majorité non bolcheviste des conseils en interdisant les autres partis socialistes. À dater de l'été 1919, le Parti bolchevique put donc gouverner le pays seul, sans les soviets. Mais Lénine ne renonça nullement aux soviets même si ces derniers furent d'emblée incompatibles avec la doctrine bolchevique. Les propagandistes du parti avaient lié trop étroitement l'idée des conseils au bolchevisme (par le biais du mot d'ordre "Tout le pouvoir aux soviets !"), en même temps que les nouveaux maîtres avaient trop besoin de conférer à leur hégémonie un cachet démocratique.

Mais le triomphe du bolchevisme eut aussi pour effet de transformer fondamentalement l'idée des soviets : d'organes d'auto-administration prolétarienne et de vecteurs d'une démocratie radicale qu'ils étaient à l'origine, ils devinrent des organes permettant à l'élite du parti unique de diriger les masses.

Le parti, "force d'impulsion", et le soviet, "courroie de transmission", n'ont plus rien à voir avec l'idée d'autodétermination des masses, éliminant l'antagonisme de la "base" et du "sommet", telle que le Lénine de 1917 s'en était institué le théoricien et que la propagande bolchevique l'avait énoncée, mais qui ne fut jamais appliquée dans la pratique de l'État soviétique.



[...] Trotski taisait ainsi le fait que les "informes parlements ouvriers" avaient été des organisations ouvrières libres et démocratiques, tandis que "l'appareil de domination du travail" ne servait en vérité que d'instrument pour maintenir la domination du Parti bolchevique.

page 434
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