Mr Park a écrit :
Lolo La Torche a écrit :
C'est surtout lamentable!
C'est une blague? Tu trouves que c'est cher payé une chemise déchirée pour 2900 personnes foutues dehors? Mets-toi 2 minutes à la place du gars qui apprend qu'on va le jeter parce qu'il n'est plus "rentable", si on met un des responsables devant toi c'est pas la chemise que tu vas arracher!
NON! La violence Physique n'est jamais excusable en dehors des cas de légitime défense. Et même là, elle doit être encadrée. Je ne cautionne jamais et je ne débats pas sur ce point. Bonnets rouge, gitans mécontents, casseurs, manifestants etc...même combat.
Sinon, les 2900 personnes n'ont qu'à s'en prendre aux syndicats de pilotes, le contribuable n'a qu'à noyer les syndicats de la SNCM, les entrepreneurs qui ont fait faillite sur le port de Marseille n'ont qu'à foutre le feu aux mafieux, pardon, syndicats, de dockers etc etc...
On a des syndicats merdiques car trop faibles (8%) et trop faibles car merdiques...Ils ont leur utilité pour former un contre pouvoir à certains patrons aux méthodes abusives. Mais il faut les avoir vu concrètement agir en PME pour comprendre qu'ils se foutent souvent totalement de leur rôle social, le système est totalement dévoyé pour des intérêts personnels plus ou moins politiques et partisans. On est très loin des chevaliers blancs, défenseurs du travailleur et de l'employé...D'ailleurs beaucoup de dégoutés fuient après avoir constaté la réalité du "combat syndical". Idem avec les syndicats de parents d'élève par exemple...
Quant à ceux que l'image de la France fait sourire ou indiffère, je peux constater que notre pays perd tous les jours de l'attrait pour les investisseurs étrangers, et que son climat social en inquiète d'autre. Idem pour les touristes...Nous avons besoin que la France ait une bonne image. Alors, on peut continuer à disserter sur les méchants patrons et ces salauds de libéraux en redemandant à Paulo de nous filer des cahuetes ou sortir du nombrilisme passéiste ou de la joute rhétorio-politico-dogmato stérile et penser qu'on a besoin des autres pour s'inscrire dans une logique mondiale.