Les poils, pour ou contre ?

le ticket de resto ou un beau petit triangle et c nickel, j'ai voir ce petit duvet qui différencie la femme de l'enfant, mais par contre les touffes ou femmes pas entretenues, c pas pour moi... d'ailleurs pareil pour les ongles des pieds.

Nan mais t'es sur que t'as bien regardé Anne Parillaud dans Le Battant?? C'est même plus un bosquet là, c'est une zone naturelle protégée. (bon cela dit elle était quand même particulièrement jolie, donc ça passe)

Oui. Et Rasta aussi il a bien regardé. Si si !

on s'en fout des pouls ! Alou est parti !

Euh...nan

Je suis d'accord avec Skelter.

1983, normal, et ça ne gênait absolument personne. Au bout de 3 jours sur une île déserte tu n'y trouverais rien à redire non plus. C'est vraiment des conneries...

les poils c'est beau que sur les oursonsmignons. Les femelles se doivent d'être glabres. Pour pas mal des raisons précitées (visuellement plus bô, gustativement meilleur, olfactivement plus agréable,kinesthésiquement plus doux etc...). Les seules foufounes que j'exige poilues sont celles des vraies rousses... Cherchez pas c'est un fantasme...

Voilà, amen!

et les levres en feuille de choux, pour ou contre?
avec ou sans PQ?

La classe

Je vous poste la traduction si je la trouve... mais mobilisez vos compétences en anglais, vous vous en trouverez bien

“Pain is an essential part of the grooming process, and that is not accidental.

Plucking the eyebrows, shaving under the arms, wearing a girdle, learning to walk in high-heeled shoes, having one’s nose fixed, straightening or curling one’s hair —these things hurt.

The pain, of course, teaches an important lesson: no price is too great, no process too repulsive, no operation too painful for the woman who would be beautiful.

The tolerance of pain and the romanticization of that tolerance begins here, in preadolescence, in socialization, and serves to prepare women for lives of childbearing, self-abnegation, and husband-pleasing.

The adolescent experience of the “pain of being a woman” casts the feminine psyche into a masochistic mold and forces the adolescent to conform to a self-image which bases itself on mutilation of the body, pain happily suffered, and restricted physical mobility.

It creates the masochistic personalities generally found in adult women: subservient, materialistic (since all value is placed on the body and its ornamentation), intellectually restricted, creatively impoverished.

It forces women to be a sex of lesser accomplishment, weaker, as underdeveloped as any backward nation. Indeed, the effects of that prescribed relationship between women and their bodies are so extreme, so deep, so extensive, that scarcely any area of human possibility is left untouched by it.”

Andrea Dworkin — Woman Hating

Tu veux pas faire la traduction toi même ?

en gros dans le texte, les femmes subissent une pression sociale dès l'enfance pour etre belle, et en grandissant elle deviennent tellement obsédée par leur image qu'adulte elles deviennent immatures et tres connes. (tout ca pour "se faire entretenir" le plaisir des hommes)
j'ai bon?

'tain… faites un effort les gars, l'anglais en 2016 c'est quand même essentiel, quoi…

Quand y'a du poil, c'est légal !