Les faits d'actualité.

Ce que je retiens de ce fait divers, c'est que t'es créatif, tu produits et donne de toi-même, t'es doué, tu paies des amendes. T'as aucun don, aucune créativité ni aucun mérite, tu fais rien à part des procès au gens, tu reçois des dédomagements

Effectivement, t'as envie de hurler "au secours". Et si on met des moustaches à la Joconde, on est condamné aussi? vraiment du pur n'importe quoi.

Effectivement, t'as envie de hurler "au secours". Et si on met des moustaches à la Joconde, on est condamné aussi? vraiment du pur n'importe quoi.

-Léonard n'a pas eu d'enfant, donc pas de famille pour porter plainte... quant à l'affaire Clapton, bah, pour pas avoir d'ennui avec les pochettes, faut soit acheter les droits de publication (avoir l'original, ne signifie pas qu'on peut exploiter/utiliser l'image), soit faire faire une oeuvre originale spécialement pour la couverture... les artistes graphiques (et leurs descendants) vivent aussi de droits d'auteurs.

« … Mais avant d’évoquer mon projet, je vais vous confier une chose. Dans cette bataille qui s’engage, je vais vous dire qui est mon adversaire, mon véritable adversaire. Il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance. Sous nos yeux, en vingt ans, la finance a pris le contrôle de l’économie, de la société et même de nos vies. Désormais, il est possible en une fraction de seconde de déplacer des sommes d’argent vertigineuses, de menacer des États.

Cette emprise est devenue un empire. Et la crise qui sévit depuis le 15 septembre 2008, loin de l’affaiblir, l’a encore renforcée. Face à elle, à cette finance, les promesses de régulation, les incantations du « plus jamais ça » sont restées lettre morte. Les G20 se sont succédés sans résultat tangible. En Europe, 16 sommets de la dernière chance ont été convoqués pour reporter au suivant la résolution définitive du problème. Les banques, sauvées par les États, mangent désormais la main qui les a nourries. Les agences de notation, décriées à juste raison pour n’avoir rien vu de la crise des subprimes, décident du sort des dettes souveraines des principaux pays, justifiant ainsi des plans de rigueur de plus en plus douloureux. Quant aux fonds spéculatifs, loin d’avoir disparu, ils sont encore les vecteurs de la déstabilisation qui nous vise. Ainsi, la finance s’est affranchie de toute règle, de toute morale, de tout contrôle.... »

C'est le moment ou jamais d'aller au Venezuela dépenser nos euros.

Tous ces bons produits locaux à acheter:

Hugo Chavez était socialiste. Pas communiste. Pareil pour son successeur.

Un des bienfaits du communisme, pas besoin de régime pour maigrir, une diététique simple et efficace et qui evite le superflus, le rêve de Mélenchon et de toute une partie de la gauche bien pensante .

Donc, si le Venezuela est en quasi faillite, c'est à cause de Mélenchon.
Rien à voir avec le régime politique, encore de la propagande. C'est le lot des pays qui n'ont qu'une source de revenu : quand le cours de cette source se ramasse, plus de revenus.

Rien à voir avec le régime politique, encore de la propagande. C'est le lot des pays qui n'ont qu'une source de revenu : quand le cours de cette source se ramasse, plus de revenus.