la mouette a écrit :
La vie n'est pas dur pour tout le monde, notamment pour Vourakis
J'aime ce genre d'analyses profondes, motivées, soucieuses des êtres et des choses.
Gageons qu'un message prochain nous apprendra ce que notre stupidité n'avait pas su voir : mais, oui, bon sang, que vous êtes courts d'esprit, c'était de l'humour, une plaisanterie bien innocente.
L'humour comme la plaisanterie ne sauraient être démagogues, cela va sans dire.
Après cet effort, j'ai les neurones en vertige.
Je téléphone direct à Angela la main froide, comme Luke, pour qu'elle me refinance et me remette tout cela en place.
Ouf, merci. Je l'ai échappé belle !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.