Redstein a écrit :
Le problème, c'est qu'en extérieur ça peut être très gênant aussi. Facile de crier au viol des libertés individuelles, mais faut comprendre que cette histoire touche de près à une fonction de base du corps humain : la respiration, qui est jusqu'ici (et pour combien de temps encore ?) un droit à peu près imprescriptible.
Au début, les non fumeurs se plaignaient que d'autres fument en leur présence. Dès lors, on vous a écoutés, on a crée des voitures fumeur dans les trains, des zones fumeurs dans les entreprises (locaux fermés), dans les lieux publics allant jusqu'à bannir la cigarette des avions et cinémas.
Ca ne vous a pas suffi, il fallait aller plus loin. Il fallait interdire de fumer dans les lieux publics. Adieu la salle fumeur, bonjour la rue !
Maintenant, il faudrait aussi interdire la cigarette dans la rue comme c'est déjà le cas ailleurs ?
Le problème est celui de l'enfant gâté. Comme des gamins, vous pleurez parce que l'on ne vous donne pas ce que vous demandez et les parents (le système) vous donnent satisfaction pour vous faire taire. Le souci est que l'on peut toujours vous donner plus, vous demanderez encore plus, surtout qu'il suffit de pleurer, de se plaindre pour obtenir satisfaction.
Demain la cigarette sera interdite partout et vous trouverez autre chose à réclamer avec la même technique : Pleurer, vous plaindre.
Maybe you should think again !