Mr Park a écrit :
Je répète dans une école de musique, quand on est arrivés lundi ils essuyaient des graffitis plutôt graveleux sur les vitres. Il s'agît d'un mec qui ne supporte pas d'avoir été largué par une des bénévoles de l'école il y a deux ans et qui revient quasi tous les mois écrire sur les fenêtre "machin est une pute, voici son numéro", ce genre de trucs. Notre guitariste (qui bosse là) me disait qu'ils ne savaient plus quoi faire pour protéger la fille, il y a déjà 7 plaintes (7 putains de plaintes!!!) à la police depuis deux ans, le gars n'a toujours pas été inquiété. L'été dernier il l'a vue à une terrasse, il est arrivé par derrière et l'a tirée par les cheveux devant tout le monde. Je suppose qu'ils attendent qu'on la retrouve égorgée pour bouger.
Alors bon, vos horribles expériences traumatisantes avec les caissières féministo-hystériques et vos hommes à plaindre, franchement...
Citation:
En moyenne, le nombre de femmes âgées de 18 ans et plus qui, en 2022, ont été victimes de violences physiques, sexuelles et/ou psychologiques ou verbales commises par leur conjoint ou ex-conjoint, est estimé à 373 000 femmes.
Il est compréhensible de ressentir de la colère de d'être vu largué
Mais la sagesse voudrait que cette colère s'exprime autrement qu'en agressant une femme Via des graffitis qui seront lus par tout le monde
Ce monsieur a fait preuve d'une grande immaturité
Ce n'est pas parce qu'une nouvelle est difficile à digérer qu'il faut transformer ça en drame public
La sagesse ne se transmet pas hélas de génération en génération
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.
Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)