Redstein a écrit :
Difficile d'admettre que nous autres porte-couilles restons socialisés pour la domination et la violence, pas vrai ?
je ne sais pas si c'est uniquement une histoire de domination et de violence, c'est bien plus profond, sociétal.
Je comprend que certaine femme finissent lesbienne, peut être pas forcement par orientation sexuelle, une manière de pouvoir vivre un peu comme les hommes:
la perspective de se mettre en couple "normal" et de se retrouver à vie à laver les slips de son homme et lui faire à bouffer, je comprend que certains femmes aspirent à autre chose, aient envie d'avoir le choix, de leur carrière, de mener leur vie comme elles l'entendent sans avoir à passer une seconde journée à l'intendance, le ménage, la lessive, s'occuper des gosses, etc...et ne pas être au service de.
Je n'ai jamais été violent avec ma femme, mais pour le reste je suis justement dans ces clichés. Oui, c'est confortable et ce serait hypocrite de ne pas dire que je n'en profit pas. En être conscient est une chose, se corriger dans le contexte général, comment dire...
Et au bout de 10, 20, 30 ans de vie commune à ce régime, il faut savoir accepter qu'elle n'est plus envie de batifoler, la bagatelle, le " devoir conjugal "( vrai que rien de bandant).
Quand aux visiteuse de prison, se mettre avec un pervers narcissique, etc...syndrome de Stockholm? il y en a des tordus, c'est sure.