L'ANTI-FÉMINISME (sujet anti-politiquement correct)

Rappel du dernier message de la page précédente :
Redstein
Inutile de m'expliquer pourquoi tu as posté cette connerie (au second degré kabondo, bien entendu).
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


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- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
ZePot
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    le 27 Juin 2019, 14:12
numero27 a écrit :
d’ailleurs On peut très bien inviter une fille sans intention de la tirer, ça arrive même très souvent

Je crois que çe ne m'est absolument jamais arrivé

Redstein a écrit :
Cela dit, ça ne vous interpelle pas ça ?

Citation:
« Le but de la pénétration au fond n’est pas vraiment le plaisir des deux partenaires, mais en premier lieu celui de l’homme, puis éventuellement celui de la femme (d’ailleurs la pénétration cesse généralement quand l’homme a atteint son plaisir). C’est l’instauration d’une relation inégalitaire comme modèle. »

Tu trouves ça pertinent

Normalement quand on baise une femme, c'est pour la faire jouir. Si on jouit avant, ça arrive, mais c'est un échec. Perso dans ce cas-là je m'excuse.

La pénétration est fondamentalement inégalitaire en effet, mais aussi fondamentalement à l'avantage de la femme, c'est quand même pas un scoop
Redstein
Je sais qu'il y a des femmes qui n'apprécient pas particulièrement la pénétration... et que la jouissance pour une femme, c'est d'abord au niveau du clitoris que ça se passe, de sorte que le bon vieux wham bam thank you Ma'am est en général HS...

Je ne cherche pas à faire le procès de la pénétration (mouarf), et bravo pour ton savoir-vivre (savoir-baiser ? ), mais il me paraît clair que la mécanique classiquement envisagée de la chose ne correspond pas à une recette infaillible, si j'ose dire.

Le bouquin de Martin Page pourrait être intéressant, mais je pense surtout à un docu vu sur Arte il y a quelque temps - faut que je le retrouve.
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numero27
ZePot a écrit :
numero27 a écrit :
d’ailleurs On peut très bien inviter une fille sans intention de la tirer, ça arrive même très souvent

Je crois que çe ne m'est absolument jamais arrivé


Maintenant que j'y pense la semaine dernière je sors dej avec une copine du taff qui se trouve être franchement plus jeune que moi et franchement canon surtout en robe par 40 degres. Je precise qd même que je me fiche totalement de son physique, pas du tout mon genre, mais elle est vraiment cool.

Enfin, voilà qu'on marche en flanant dans la rue et assis à une terrasse je croise le père d'une des meilleures copine de ma fille. Je m'apprete à le saluer puis me ravise en me disant qu'il allait croire que je me tape la nana qui m'accompagne, puis je réalise que lui aussi est en train de dej avec une femme très jolie qui se trouve ne pas être celle avec qui il est marié, donc bref je passe devant lui, je crois qu'il ne m'a pas vu.
qu'est ce qu'il ce serait passé si je m'étais arrété ? on se serait salué, on se serait regardé comme ça :



Coupable de rien, mais franchement suspect ....
manulonch
Redstein a écrit :
Inutile de m'expliquer pourquoi tu as posté cette connerie (au second degré kabondo, bien entendu).

Parce que je pense qu'il y a tout autant de haine des hommes que de haine des femmes...
Y'a des gros cons partout, chez les deux sexes.

numero27 a écrit :
qu'est ce qu'il ce serait passé si je m'étais arrété ?

Une partie à 4 ??
themidnighter
Redstein a écrit :
Je sais qu'il y a des femmes qui n'apprécient pas particulièrement la pénétration... et que la jouissance pour une femme, c'est d'abord au niveau du clitoris


Parle pour toi...
ZePot
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    ZePot
    le 27 Juin 2019, 15:35
J'aime beaucoup les tranches de vie de n°27, mais ça manque quand même sérieusement de trombis
ZePot
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    ZePot
    le 27 Juin 2019, 15:38
themidnighter a écrit :
Redstein a écrit :
Je sais qu'il y a des femmes qui n'apprécient pas particulièrement la pénétration... et que la jouissance pour une femme, c'est d'abord au niveau du clitoris


Parle pour toi...






SharkFood
Redstein a écrit :
Je sais qu'il y a des femmes qui n'apprécient pas particulièrement la pénétration... et que la jouissance pour une femme, c'est d'abord au niveau du clitoris


Moi mes cousines n'ont pas de clitoris dans leur anus...et elles jouissent putain !
Ou du moins, elles me le font croire...
La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
Redstein
SharkFood a écrit :
Redstein a écrit :
Je sais qu'il y a des femmes qui n'apprécient pas particulièrement la pénétration... et que la jouissance pour une femme, c'est d'abord au niveau du clitoris


Moi mes cousines n'ont pas de clitoris dans leur anus...et elles jouissent putain !
Ou du moins, elles me le font croire...


Voilà, tu as mis le doigt dessus.

Va te laver les mains
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SharkFood
Redstein a écrit :

Voilà, tu as mis le doigt dedans.


Moi non..

Redstein a écrit :
Va te laver les mains

Tes cousines sont nulles Redstein...


La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
Redstein
SharkFood a écrit :
Redstein a écrit :

Voilà, tu as mis le doigt dedans.


Moi non..


Tu as pris un whisky d'abord ?
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Saddakoh
Redstein a écrit :
SharkFood a écrit :
Redstein a écrit :

Voilà, tu as mis le doigt dedans.


Moi non..


Tu as pris un whisky d'abord ?


Attention, tu vas en froisser un s'il nous lit.
Masha
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    Masha
    le 27 Juin 2019, 17:08
Redstein a écrit :
Masha a écrit :
Redstein a écrit :



Nouvelles du paradis antiféministe des zhoms-les-vrais :

En Alabama, une femme accusée de la mort de son bébé à naître après qu’une autre lui a tiré dans le ventre


Je vois pas le rapport avec le féminisme, c'est une fam qui a tiré sur une autre fam

Mais effectivement, la décision du jury semble très


Tu ne vois pas le rapport avec la haine des femmes ?


Non, et ce n'est pas du second degré kabondo
Postez des recettes, bordayl de merde.

Fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous.
Redstein
Sketu veux que j'te dise ? Relis l'article... éventuellement en commençant par le dernier paragraphe :

Citation:
L’Etat d’Alabama a provoqué une indignation internationale en mai en promulguant la loi anti-avortement la plus restrictive des Etats-Unis, interdisant la quasi-totalité des interruptions volontaires de grossesse, même en cas d’inceste ou de viol.



Saddakoh a écrit :
Redstein a écrit :
SharkFood a écrit :
Redstein a écrit :

Voilà, tu as mis le doigt dedans.


Moi non..


Tu as pris un whisky d'abord ?


Attention, tu vas en froisser un s'il nous lit.


Qui donc ?
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Pierre-Andre
"Pour les pères, on est à chaque fois dans la douleur, les procédures sont violentes."

Un matin, certains hommes découvrent par un simple acte d’huissier, commandé par un enfant ou une ancienne conjointe, qu’ils sont peut-être papas.

Avocate de nombreux pères « contraints » qui voient leur vie bouleversée, Mary Plard, auteure de Paternités imposées, nous en parle.

« Il faudrait commencer par téléphoner, écrire, envoyer un mail ou un SMS. C'est terrifiant d'entrer en relation comme cela. » Assigné en justice par son fils de 22 ans dont il ignorait jusque-là l’existence, Jean-Jacques est effondré.
Comme Matthieu ou Raphaël, ce père « obligé » témoigne de son désarroi dans le documentaire Sois père et tais-toi ! de Lorène Debaisieux.
« Vingt ans après, arrive cet enfant qui me tombe dessus. Il y une demande de reconnaissance de paternité. »
Jean-Jacques doit verser une pension alimentaire de 300 euros par mois, rétroactive depuis 2008, date du début de l’action en justice. Une somme dont il ne peut s’acquitter sans vendre sa maison !
En 2011, 3 400 actions en reconnaissance ou en contestation de paternité étaient recensées en France.
Pour certains, une relation de quelques heures parfois, les rattrape des années après, avec l’obligation de payer pour subvenir aux besoins d’un enfant. Pour d'autres, la liaison était sérieuse mais il n'y avait pas de projet familial, et ils n'ont pas pu s'y opposer.
Si les situations divergent, un sentiment commun émerge, celui de se sentir « piégé ». Face à la singularité de ces histoires, les réponses de la loi ne semblent pas aussi nuancées qu'elles devraient l'être.
Mary Plard, avocate de ces pères « obligés » et auteure de Paternités imposées (Éd. les Liens qui Libèrent, 2013), décrypte les écueils d'un système qu’elle juge inadapté.

Vous vous définissez comme féministe. À plusieurs reprises dans le livre, vous pointez le malaise que avez ressenti en prenant la défense de ces hommes et la peur de trahir « votre camp ». Pourquoi ?
Mary Plard En effet, lors de ma première conversation avec Paul, le premier client que j’ai défendu, j’ai eu envie de lui dire qu’il se trompait d’adresse. Il venait me chercher dans les douze premières semaines de la grossesse car il voulait que la femme qui lui demandait d’assumer sa paternité avorte. Moi qui me suis battue pour que les femmes disposent de la liberté de leur corps, j’ai trouvé ça complètement fou ! Mais j’ai senti qu’il était empli de douleur. Quand je partageais mes réflexions avec mon entourage, on me disait : “Il n’avait qu’à se protéger ! Il n’a que ce qu’il mérite" et j’ai compris que sa souffrance n’était pas audible. Cette incompréhension, je l’ai retrouvée dans les prétoires.

Les situations de ces pères dans le documentaire sont très variées. Finalement, qu’est-ce qu’une « paternité imposée » ?
On se situe dans le « coup bas », celui de l’enfant fait « dans le dos ». Il ne s’agit pas d'hommes lâches qui ont délibérément fui une paternité. Ce n’est pas évident pour les pères « trahis », car la société leur assigne volontiers le mauvais rôle. Ce sont des hommes qui n’avaient aucun projet familial avec une femme, qu'ils ont parfois à peine connue, et qui se retrouvent, plusieurs années après, confrontés à une paternité. Ce sont des femmes qui ont manipulé, disant qu’elles prenaient une contraception alors qu’elles l'avaient délibérément arrêté. Des mères qui, après une courte relation, frappent à la porte d’un ancien conjoint pour annoncer leur grossesse, alors que le délai légal pour avorter est dépassé. Lorsqu’ils sont reconnus pères, après des tests ADN, ils sont soumis à une cascade d’obligations, notamment financières. Évidemment, les hommes doivent aussi se soucier de leur contraception. Mais il faut reconnaître qu'ils ont moins de moyens de se protéger. Car aujourd’hui, la recherche est encore essentiellement tournée vers les femmes.


La femme a effectivement un accès plus large à la contraception, avec la pilule du lendemain. Elle a le choix en dernier ressort de garder l’enfant, d’avorter, et même accoucher sous X. Face à cela, les hommes paraissent impuissants. Comment pourrait-on rééquilibrer les droits ?
Il y a un vide juridique pour les pères. On pourrait imaginer une paternité sous X, puisque les femmes ont le droit de le faire. Par ailleurs, l’action en reconnaissance de paternité appartient à la mère et à l’enfant, est-ce normal ? Certains pères devraient pouvoir engager la procédure. Enfin, il serait peut-être envisageable de réduire le délai de prescription du lancement par la mère d'une action en reconnaissance de paternité. Aujourd'hui il est de dix ans, cela laisse trop de temps à la maman pour se décider. Certains hommes doivent s'acquitter d'une pension alimentaire à compter de la date de naissance de leur enfant, dont ils ignoraient l’existence. Récemment, l'un de mes clients s’est vu réclamer le versement de quatorze années de pension rétroactive, à hauteur de 700 euros par mois (l'action était intentée par l'enfant, le délai de prescription étant alors supérieur à celui s'imposant à la maman, NDLR).

En vertu de ce vide juridique, sur quoi se basent les décisions de justice pour prononcer des dommages et intérêts aussi importants ?
En droit français, l’intérêt de l’enfant est privilégié. Le législateur se conforme à l'obligation des parents de subvenir financièrement au besoin de leur descendance. C’est pourquoi la « mauvaise foi » de la mère n’est pas prise en compte. Si elle a menti ou si elle a décidé de son plein gré de quitter l’homme et d’élever l’enfant seule, avant de changer d'avis, ce n’est pas le problème de la justice. Pour les pères, on est à chaque fois dans la douleur, les procédures sont violentes. Certains clients n’ont pas été contactés par leur ancienne conjointe avant d’être convoqués par le juge. D’autres versent une pension à des enfants dont ils ne connaîtront jamais le prénom. On est dans un sujet très sensible. Il faut trouver un équilibre et, dans la mesure du possible, affiner les règles pour les adapter aux cas particuliers.

Sois père et tais-toi !, par Lorène Debaisieux, France 5, mardi 13 janvier.

http://madame.lefigaro.fr/soci(...)HZNXA

http://madame.lefigaro.fr/soci(...)33206

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