L'ANTI-FÉMINISME (sujet anti-politiquement correct)

Rappel du dernier message de la page précédente :
Pierre-Andre
"Pour les pères, on est à chaque fois dans la douleur, les procédures sont violentes."

Un matin, certains hommes découvrent par un simple acte d’huissier, commandé par un enfant ou une ancienne conjointe, qu’ils sont peut-être papas.

Avocate de nombreux pères « contraints » qui voient leur vie bouleversée, Mary Plard, auteure de Paternités imposées, nous en parle.

« Il faudrait commencer par téléphoner, écrire, envoyer un mail ou un SMS. C'est terrifiant d'entrer en relation comme cela. » Assigné en justice par son fils de 22 ans dont il ignorait jusque-là l’existence, Jean-Jacques est effondré.
Comme Matthieu ou Raphaël, ce père « obligé » témoigne de son désarroi dans le documentaire Sois père et tais-toi ! de Lorène Debaisieux.
« Vingt ans après, arrive cet enfant qui me tombe dessus. Il y une demande de reconnaissance de paternité. »
Jean-Jacques doit verser une pension alimentaire de 300 euros par mois, rétroactive depuis 2008, date du début de l’action en justice. Une somme dont il ne peut s’acquitter sans vendre sa maison !
En 2011, 3 400 actions en reconnaissance ou en contestation de paternité étaient recensées en France.
Pour certains, une relation de quelques heures parfois, les rattrape des années après, avec l’obligation de payer pour subvenir aux besoins d’un enfant. Pour d'autres, la liaison était sérieuse mais il n'y avait pas de projet familial, et ils n'ont pas pu s'y opposer.
Si les situations divergent, un sentiment commun émerge, celui de se sentir « piégé ». Face à la singularité de ces histoires, les réponses de la loi ne semblent pas aussi nuancées qu'elles devraient l'être.
Mary Plard, avocate de ces pères « obligés » et auteure de Paternités imposées (Éd. les Liens qui Libèrent, 2013), décrypte les écueils d'un système qu’elle juge inadapté.

Vous vous définissez comme féministe. À plusieurs reprises dans le livre, vous pointez le malaise que avez ressenti en prenant la défense de ces hommes et la peur de trahir « votre camp ». Pourquoi ?
Mary Plard En effet, lors de ma première conversation avec Paul, le premier client que j’ai défendu, j’ai eu envie de lui dire qu’il se trompait d’adresse. Il venait me chercher dans les douze premières semaines de la grossesse car il voulait que la femme qui lui demandait d’assumer sa paternité avorte. Moi qui me suis battue pour que les femmes disposent de la liberté de leur corps, j’ai trouvé ça complètement fou ! Mais j’ai senti qu’il était empli de douleur. Quand je partageais mes réflexions avec mon entourage, on me disait : “Il n’avait qu’à se protéger ! Il n’a que ce qu’il mérite" et j’ai compris que sa souffrance n’était pas audible. Cette incompréhension, je l’ai retrouvée dans les prétoires.

Les situations de ces pères dans le documentaire sont très variées. Finalement, qu’est-ce qu’une « paternité imposée » ?
On se situe dans le « coup bas », celui de l’enfant fait « dans le dos ». Il ne s’agit pas d'hommes lâches qui ont délibérément fui une paternité. Ce n’est pas évident pour les pères « trahis », car la société leur assigne volontiers le mauvais rôle. Ce sont des hommes qui n’avaient aucun projet familial avec une femme, qu'ils ont parfois à peine connue, et qui se retrouvent, plusieurs années après, confrontés à une paternité. Ce sont des femmes qui ont manipulé, disant qu’elles prenaient une contraception alors qu’elles l'avaient délibérément arrêté. Des mères qui, après une courte relation, frappent à la porte d’un ancien conjoint pour annoncer leur grossesse, alors que le délai légal pour avorter est dépassé. Lorsqu’ils sont reconnus pères, après des tests ADN, ils sont soumis à une cascade d’obligations, notamment financières. Évidemment, les hommes doivent aussi se soucier de leur contraception. Mais il faut reconnaître qu'ils ont moins de moyens de se protéger. Car aujourd’hui, la recherche est encore essentiellement tournée vers les femmes.


La femme a effectivement un accès plus large à la contraception, avec la pilule du lendemain. Elle a le choix en dernier ressort de garder l’enfant, d’avorter, et même accoucher sous X. Face à cela, les hommes paraissent impuissants. Comment pourrait-on rééquilibrer les droits ?
Il y a un vide juridique pour les pères. On pourrait imaginer une paternité sous X, puisque les femmes ont le droit de le faire. Par ailleurs, l’action en reconnaissance de paternité appartient à la mère et à l’enfant, est-ce normal ? Certains pères devraient pouvoir engager la procédure. Enfin, il serait peut-être envisageable de réduire le délai de prescription du lancement par la mère d'une action en reconnaissance de paternité. Aujourd'hui il est de dix ans, cela laisse trop de temps à la maman pour se décider. Certains hommes doivent s'acquitter d'une pension alimentaire à compter de la date de naissance de leur enfant, dont ils ignoraient l’existence. Récemment, l'un de mes clients s’est vu réclamer le versement de quatorze années de pension rétroactive, à hauteur de 700 euros par mois (l'action était intentée par l'enfant, le délai de prescription étant alors supérieur à celui s'imposant à la maman, NDLR).

En vertu de ce vide juridique, sur quoi se basent les décisions de justice pour prononcer des dommages et intérêts aussi importants ?
En droit français, l’intérêt de l’enfant est privilégié. Le législateur se conforme à l'obligation des parents de subvenir financièrement au besoin de leur descendance. C’est pourquoi la « mauvaise foi » de la mère n’est pas prise en compte. Si elle a menti ou si elle a décidé de son plein gré de quitter l’homme et d’élever l’enfant seule, avant de changer d'avis, ce n’est pas le problème de la justice. Pour les pères, on est à chaque fois dans la douleur, les procédures sont violentes. Certains clients n’ont pas été contactés par leur ancienne conjointe avant d’être convoqués par le juge. D’autres versent une pension à des enfants dont ils ne connaîtront jamais le prénom. On est dans un sujet très sensible. Il faut trouver un équilibre et, dans la mesure du possible, affiner les règles pour les adapter aux cas particuliers.

Sois père et tais-toi !, par Lorène Debaisieux, France 5, mardi 13 janvier.

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Masha
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    le 27 Juin 2019, 19:39
Redstein a écrit :
Sketu veux que j'te dise ? Relis l'article... éventuellement en commençant par le dernier paragraphe :

Citation:
L’Etat d’Alabama a provoqué une indignation internationale en mai en promulguant la loi anti-avortement la plus restrictive des Etats-Unis, interdisant la quasi-totalité des interruptions volontaires de grossesse, même en cas d’inceste ou de viol.


OK, je vois

Je crois même que je suis d'accord avec toi :monsieurembarrassé:
Postez des recettes, bordayl de merde.

Fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous.
Pierre-Andre
Ligue du LOL : la fabrique des 30 salauds

1. Un storytelling fallacieux qui a tout emporté

L’emballement autour de cette affaire s’explique par une erreur de base, qui a transformé un fait divers de Twitter en une affaire d’état reprise jusque dans le New York Times et la BBC. La Ligue du LOL a été présentée d’emblée comme un groupe de journalistes harcelant d’autres journalistes femmes et issues des minorités, comme un “boy’s club” régnant par la terreur dans la presse pour obtenir des postes. L‘histoire est vendeuse, une chronique stupéfiante sur le sexisme dans le milieu progressiste et toute la presse va embrayer dessus.

Au juste, qui sont les journalistes femmes visées par la Ligue du LOL ? Dans les témoignages publiées sur Twitter ou dans les médias, on découvre plusieurs journalistes victimes. Or, au moment des faits dénoncés, la grande majorité n’était pas journaliste ce qu’aucun média ne précise. Lucille B., Nora B., Mélanie W., Florence P. et Thomas M. ne sont pas encore journalistes et ne représentent certainement pas une menace pour les journalistes de la Ligue du LOL, qui sont pour la plupart en contrat dans des rédactions.

Les seules journalistes visées au début des années 2010 sont Iris G. et Léa L. Dans un témoignage pour Slate, cette dernière atteste que les raids de la Ligue du LOL “ont joué contre l’obtention de son CDI” à Libération en 2014. L’accusation est grave et mérite d’être vérifiée, ce qu’aucun média n’a fait. D’après Alex H. qui s’est exprimé sur Medium, “cette justification a posteriori a fait tousser bien des anciens collègues dans la rédaction de Libé, en particulier au service édition ” (doit-on y lire une référence à un épisode non lié à la Ligue du LOL qui avait scandalisé la twittosphère en 2013 ?)

Les rédactions ont publié plusieurs analyses de militantes féministes, basées sur des présomptions et non sur des faits établis.Le site de LCI écrit : “Dans le cas de la “Ligue du LOL”, il est évident pour cette militante féministe que ce groupe a aidé, de près ou de loin, la carrière de leurs membres masculins, au détriment de celle des victimes. Très concrètement, plusieurs anciens membres sont aujourd’hui rédacteurs en chef ou occupent des postes confortables en CDI. A l’inverse, les journalistes féministes visées à l’époque sont restées longtemps pigistes (c’est-à-dire payées à l’article). Certaines occupent encore ce statut aujourd’hui, d’autres ont choisi de se reconvertir.

On aimerait savoir précisément en quoi un groupe Facebook privé a pu permettre à des journalistes de devenir rédacteur en chef. On aimerait aussi savoir qui sont les journalistes féministes visées à l’époque, qui sont aujourd’hui à la pige ou se sont reconverties. Les preuves comptent peu dans cette affaire car comme le dit la militante à LCI “Il est évident que”. Avec des “Il est évident que”, on fait à coup sûr d’excellents articles.

[...]

7. Les membres de la Ligue du LOL n’ont pas été virés pour leurs fautes, mais pour le procès qui leur a été fait

Ce n’est pas le moins inquiétant dans cette affaire. Les membres de la Ligue du LOL n’ont pas été virés pas pour des fautes commises sur leur lieu de travail ou dans le cadre de leurs activités professionnelles mais vraisemblablement pour atteinte à l’image de leur entreprise.Pour résumer, ils ont été cloués au pilori sur Twitter et cela a suffit à les licencier, sans prise en compte de leur culpabilité réelle.

Leurs employeurs sont aussi des victimes de cette affaire. Face à la violence des réactions sur Twitter, il devenait impossible de ne pas les licencier, sauf à ce que l’employeur se retrouve lui-même sous le feu de la colère populaire et du name and shame. Sans faute commise dans le cadre de leur contrat de travail, les employeurs peuvent utiliser cette astuce pour les virer à peu de frais : avancer que la sortie de l’affaire de la Ligue du LOL porte atteinte à l’image de leur entreprise.

“Juridiquement, c’est délicat, estime Maï Le Prat, avocate en droit du travail. Si l’employeur conclut que ces faits relèvent de la vie privée et ne peuvent être sanctionnés, il peut néanmoins considérer que le comportement du salarié a causé un “trouble objectif caractérisé” au sein de l’entreprise. Et le licencier pour ce motif. Là encore, il faut que ce soit bien étayé. Il faudrait, par exemple, qu’un nombre substantiel de lecteurs de Libération menacent de résilier leur abonnement ou que des annonceurs importants menacent de se retirer.

Cela devient facile de faire virer quelqu’un : il suffit de monter une campagne sur Twitter. L’entreprise effrayée par le bad buzz ne peut que céder à la pression populaire et ses avocats de lui conseiller d’utiliser cet argument juridique : nous ne pouvons plus travailler avec cette personne car la campagne contre elle sur les réseaux atteint notre image.Une inquiétante logique se met en place : est coupable celui qui est désigné coupable sur Twitter. Quelle sentence pénale dans le droit français interdit-elle de travailler ? C’est pourtant ce que réclame le tribunal auto-proclamé de Twitter qui a imposé le licenciement des membres de la Ligue du LOL et qui va assurément condamner toute reprise de travail d’un de ses membres. Au nom de quoi ne peut on plus entendre les podcasts géniaux d’Henry M. ou de Sylvain P., dont le seul tort est semble-t-il d’avoir appartenu à un groupe Facebook.

8. Aucun média ne s’est posé la question : qu’est-ce que le harcèlement ?

Qu’est-ce qu’est le cyberharcèlement dont on accuse la Ligue du LOL ? 5 tweets moqueurs ? 10 tweets moqueurs ? 20 tweets moqueurs ? Sur quelle période de temps ? À qui cela s’applique : à tout le monde ou seulement aux anonymes ? À partir de quel niveau de notoriété ce n’est plus du harcèlement ? Si je fais 20 tweets pour dire qu’Agnès Buzyn est une grosse merde, suis-je un harceleur ? Et si je poste 100 messages pour dire que Norman fait des vidéos est un usurpateur, suis-je passible de deux ans de prison ? Cette question ne semble intéresser personne. C’est pourtant en y répondant que l’on peut déterminer si les membres de la ligue du LOL ont harcelé ou non.

D’après Le Monde, Vincent G. s’est rendu coupable de harcèlement sur Capucine P. pour avoir publié 12 tweets sur une échelle de temps de deux ans concernant la blogueuse beauté. Sur ces 12 tweets, 10 sont des réponses à Capucine P. dans le cadre, on le suppose,d’une conversation entre les deux twittos ( elle a depuis supprimé son compte ). Comment peut-on parler de harcèlement dans ce cas précis ? On nage en plein délire. Des clashs entre deux personnes deviennent dix ans plus tard des harcèlements, une fois que les tweets de la victime présumée ont été supprimés." [...]

https://medium.com/@fabriquede(...)9c3dc
Biosmog
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Excepté PA qui est définitivement à côté de la plaque (c'est un peu le cassoreille du sociétal pour reprendre une notion de Blow up), j'observe ici, que dès qu'on parle performance sexuelle, chez les mecs, qu'est-ce qu'on se la pète
Vous battez pas, je vous aime tous
BluesBarbu
Biosmog a écrit :
dès qu'on parle performance sexuelle, chez les mecs, qu'est-ce qu'on se la pète


Tu veux nous dire quelque chose ?
numero27
ZePot a écrit :
J'aime beaucoup les tranches de vie de n°27, mais ça manque quand même sérieusement de trombis


Ce forum suinte la trombinophobie
numero27
Biosmog a écrit :
Excepté PA qui est définitivement à côté de la plaque


On est d’accord , on a tous compris les obsessions délirantes de PA ... cependant ses argumentations ont le mérite d’être étayées , donc je pense que sans verser dans l'excès de notre camarade, on peut tout de même conclure , qu’objectivement , les femmes sont , dès qu’elles en ont l’occasion, de grosses salopes qui nous manipulent en jouant les victimes pour faire pleurer la galerie.
Masha
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    Masha
    le 28 Juin 2019, 11:22



Triple shebagging

Les féministes ne reculent devant rien
Postez des recettes, bordayl de merde.

Fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous.
Redstein
numero27 a écrit :
Biosmog a écrit :
Excepté PA qui est définitivement à côté de la plaque


On est d’accord , on a tous compris les obsessions délirantes de PA ... cependant ses argumentations ont le mérite d’être étayées , donc je pense que sans verser dans l'excès de notre camarade, on peut tout de même conclure , qu’objectivement , les femmes sont , dès qu’elles en ont l’occasion, de grosses salopes qui nous manipulent en jouant les victimes pour faire pleurer la galerie.


Ça me semble très objectif en effet.


Personne ne nie qu'il y a des wagons de connasses - sans doute autant que de connards, et ça fait du monde... Mais ça n'autorise personne à en conclure que « les femmes » seraient « objectivement » et globalement des « salopes » déterminées à manipuler en bloc ce « nous » dans lequel aucun nhom n'a à se reconnaître.

Comme toujours, on prend des cas particuliers pour en tirer des conclusions générales - qui vont ici tout à fait dans le sens des zobsessions délirantes en question : et ainsi va la féministophobie.


Masha a écrit :
Redstein a écrit :
Sketu veux que j'te dise ? Relis l'article... éventuellement en commençant par le dernier paragraphe :

Citation:
L’Etat d’Alabama a provoqué une indignation internationale en mai en promulguant la loi anti-avortement la plus restrictive des Etats-Unis, interdisant la quasi-totalité des interruptions volontaires de grossesse, même en cas d’inceste ou de viol.


OK, je vois

Je crois même que je suis d'accord avec toi :monsieurembarrassé:


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numero27
effectivement, je me rend compte qu'il fait beaucoup trop chaud pour rajouter mon second degrè a ceux du thermomètre ....
Redstein
En effet, il m'est complètement passé au-dessus de la tête
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Pierre-Andre
numero27 a écrit :
on a tous compris les obsessions délirantes de PA

Et encore, j'ai pas tout dit

numero27 a écrit :
sans verser dans l'excès de notre camarade

Où ça des excès ? Par exemple ?
Je cite des textes sensés et mesurés, qui vont certes toujours dans le sens inverse des stéréotypes féministes, mais si c'est ça être dans l'excès, alors on vit dans un moule intellectuel dont il serait impossible de sortir.
Redstein
C'est dans l'excès parce que tu en fais une croisade haineuse, sans aucune conscience politique ou historique qui t'aurait appris ce qu'est l'oppression des femmes à travers les âges, armé de ta seule et malheureuse expérience personnelle avec UNE femme et déterminé à salir tout ce qui a été fait pour tenter de parvenir à un minimum d'égalité.

Bref, ta démarche pue méchamment de la gueule.
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Masha
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    Masha
    le 28 Juin 2019, 14:29
Prenez un chewing-gum Emile.
Postez des recettes, bordayl de merde.

Fâchez-vous comme vous voulez, je m'en fous.
Pierre-Andre
Dire que les hommes sont aussi des êtres humains, qu'ils souffrent, qu'ils sont parfois victimes d'injustice sexistes c'est être dans la haine des femmes?
Ah bon.

Japon : les pères divorcés privés à jamais de leurs enfants
Une cruelle tradition au Japon. Lors d'un divorce, les pères n'ont plus aucun droit sur leurs enfants. Contacts, adresse, photos... Tout leur est leur est interdit. Des Français concernés ont pu rencontrer Emmanuel Macron en visite officielle.

Brice Dugénie PUBLIÉ LE 27/06/2019 À 17:30

C'est pire que la suppression du droit de garde. Au Japon, les enfants sont tout simplement enlevés à leurs pères en cas de séparation. Le chef de l'État, en visite officielle dans le pays du 26 au 29 juin, a rencontré des Français dans cette dramatique situation.

Stéphane Lambert, 49 ans, fait partie de ces hommes. Cela fait quatre ans qu'il n'a pas revu Nathan, son fils. Il se souvient en détails du jour où sa femme est partie avec leurs fils de deux ans : "Le 22 juillet 2015, c’était un matin. Elle m’a dit que maintenant, elle ne m’autoriserait plus à rester seul avec l’enfant. Nous nous sommes fâchés", a-t-il expliqué à l'envoyé spécial sur place de RTL.

Le cuisinier est parti, et n'a jamais revu son fils. "Quand je suis revenu le soir, la maison était vide, en tout cas il n’y avait plus d’enfant. Beaucoup de vêtements avaient disparu. Je n’avais plus aucun document. Je n’ai plus aucun document de mon enfant, cela veut dire que je n’ai plus aucune photo. Du jour au lendemain, vous ne savez plus du tout où est votre enfant".

Un combat pour la justice, contre la justice

Armada de Rouen : six à sept millions de visiteurs attendus du 6 au 16 juin
Depuis, Stéphane Lambert n’a jamais revu son fils. Il ne sait pas où il vit. L'homme s’est ruiné en détectives et en avocats, mais la justice japonaise ne lui donne aucun droit : le juge l’empêche de voir son fils et l’oblige à verser une pension.

La rencontre avec Emmanuel Macron au deuxième jour de sa visite officielle a été vécue comme un espoir pour l’homme détruit. "Cela fait 4 ans que je me bats tous les jours, que je souffre tous les jours. Toute ma vie tourne autour de ça. Le Président a été à l’écoute. Je pense qu’il a été touché par nos récits. Il a posé des questions. Il a promis qu’il allait faire quelque chose. Ça a été vital, primordial, un soulagement."

Au Japon, des centaines d'hommes sont victimes de ces enlèvements, Américains, Français, et même Japonais.

https://www.rtl.fr/actu/intern(...)1NefI
Pierre-Andre
Pour info, c'était comme ça aussi en France au 19ème siècle.

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