Biz :
Une société qui n'a pas besoin de limites serait une société "parfaite". Dans ce cas là il n'y a pas besoin de limites car il n'y pas de crimes.
J'entends pas de limites dans le sens pas de loi juridique. Rien n'empêche cependant d'instaurer dautres loi comme des lois économiques, ect..
C'est donc l'existence du "Mal" (appellez ça comme vous voulez) qui engendre la création de limites qui tendent à conserver une cohésion.
Une société sans limites tient donc de l'imaginaire. Et une société sans limite n'est pas viable car impossible. Amoins d'enlever tout libre arbitre à l'Homme et de complètement l'aliéner (c'est un des propos tenu par Durkheim si je me souviens bien).
Biz a écrit :
e pense que ce qu'il voulait montrer, c'est qu'on peut trouver une utilité au crime avant tout, et non pas qu'il est nécessaire à la société. C'était un peu moins périlleux et tout aussi démonstratif pour l'affaire qui nous intéressait. Le problème n'est pas qu'il soit d'accord ou pas avec Durkheim, mais que la réflexion de Durkheim apporte quelque chose au débat après tout.
Jai bien compris seulement pour moi il n'y ait pas arrivé. Et Durkheim ne cherche pas à démontrer que le crime est utile à une société. Il tend simplement à montrer que le crime peut influencer la morale, de manière à rendre un crime "légal". De la même manière que quelque chose de parfaitement légal peut devenir "a-normal".
Durkheim se demande comment et par quels processus a t-on défini quelque chose comme étant illégal ou non.
J'ai oublié de préciser que ces événement sont déterminer par ce qu'il appelle la pensée collective.
Je ne m'en souviens plus très bien du reste parce que ça fait un moment que je n'est pas lu du Durkheim, et que je n'est aps tout retenu.
"Life’s but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage,
And then is heard no more. It is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing."