Capitalisme de M**** $%*!($)

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Zoob
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    le 17 Fév 2023, 21:31
Mr Park a écrit :
ZePot a écrit :
Blow Up a écrit :
En plus c'était des Les Paul de pauvre (gothic, studio, Tokai)

Pas toutes !

Blow Up a écrit :
ma bonne vielle Les Paul standard

Et puis tu te rattrapais sur la quantité :

Blow Up a écrit :
A une période c'était pire je collectionnais uniquement les Les Paul noires (j'en ai eu 7)



Je crois que je vais mettre blow up en contenu rejeté, je ne viens pas sur le forum pour lire ça. Même Micky est mieux au final.
arff
"Et c'est tout, terminé !"
Lao
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    le 17 Fév 2023, 21:34
Mr Park a écrit :
....
Je crois que je vais mettre blow up en contenu rejeté, je ne viens pas sur le forum pour lire ça. Même Micky est mieux au final.
Reste digne !
Zoob
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    le 17 Fév 2023, 21:40
force a park
SenorMicky
je sais je sais… je fascine, ils ne peuvent s’empêcher de me mentionner

t’es jaloux jeune guitariste inscrit récemment?
Tu veux ( toi aussi) avoir cette attention?
Rien de plus simple, dis juste la vérité, ca en irritera plus d’un….
10000001700010 / HEK293 / 978-2-940631-11-7 / SV40 / W02020060606
jamais dans la tendance mais toujours dans la bonne direction ...
les chiens aboient, la caravane passe...
Zoob
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    le 17 Fév 2023, 21:51
[quote="Lao"]
Mr Park a écrit :
....
Je crois que je vais mettre blow up en contenu rejeté, je ne viens pas sur le forum pour lire ça. Même Micky est mieux au final.
SenorMicky a écrit :
je sais je sais… je fascine, ils ne peuvent s’empêcher de me mentionner

t’es jaloux jeune guitariste inscrit récemment?
Tu veux ( toi aussi) avoir cette attention?
Rien de plus simple, dis juste la vérité, ca en irritera plus d’un….
Reste digne Mr Park !
"Et c'est tout, terminé !"
Mr Park
Je ne sais même pas de qui il parle l'autre taré, je suis inscrit depuis 2006. Et pour la dernière fois Mickose, je ne vois pas ce que tu lis, donc garde tes neurones défaillants pour autre chose.
jules_albert

Roswitha Scholz, Le sexe du capitalisme: "Masculinité" et "féminité" comme piliers du patriarcat producteur de marchandise

Encore un livre qui ne plaira pas aux collabos du système, qu'ils soient dégueulassement de "droite" ou abjectement de "gauche" : Roswitha Scholz bat en brèche le patriarcat capitaliste mais aussi le catéchisme postmoderne du féminisme, et démontre que les idéologues de cette fausse dissidence issue des campus américains sont au service des mutations néolibérales et du conformisme social car il évite de s'en prendre aux réalités centrales de l'aliénation technologique et marchande. Le féminisme et les mouvements homosexuels qui avaient le mérite de s'attaquer par le passé à la persistance de vieilles idées répugnantes ont pu parvenir à incarner, French theory aidant, une très efficace avant-garde de la normalisation et de la conformité sociale dont il est malaisé de discerner, de la parité aux mariages gay, quelles sont les prescriptions qui relèvent du politically correct ou de cette pensée unique dont l'évocation suscita naguère tant d'émois.

Par la voix de ses rebondissants avatars "antilibéraux", altermondialistes ou décroissants, le citoyennisme formule et développe identiquement "la demande sociale de protection dans la catastrophe". Son consternant exemple apporte ainsi un utile complément à la critique classique de la bureaucratie. Celle-ci s'appliquait à la façon dont l'État impose à la société ses normes et son contrôle. Désormais c'est tout autant la société (par le biais des hommes quelconques qui s'y mobilisent pour recueillir ses inquiétudes et fabriquer l'image spectaculaire d'une prétendue "société civile") qui réclame normes et contrôle.

Avec son théorème de la « valeur-dissociation », Roswitha Scholz propose une critique féministe du patriarcat capitaliste au-delà du progressisme politique, du marxisme traditionnel et de tous les développements postmodernes. Elle effectue une critique radicale de la modernité comprise comme patriarcat producteur de marchandises, ce qui la conduit à refuser de se laisser enfermer aussi bien dans la croyance en un progrès immanent de la modernité, que dans les « contradictions secondaires », l'essentialisme naturalisant ou le différentialisme post-structuraliste. Les essais rassemblés dans ce volume mènent une discussion critique de divers courants et auteures féministes - de Judith Butler, Nancy Fraser et Maria Mies à Silvia Federici - afin d'analyser l'essence de la modernité comme totalité sociale brisée, où les deux pôles de la « valeur » et de la « dissociation » reproduisent le rapport patriarcal du masculin et du féminin jusque dans la barbarisation postmoderne et l'effondrement du patriarcat producteur de marchandises. Ce dernier, déjà entamé, n'aura aucune portée émancipatrice.
Roswitha Scholz est, aux côtés de Robert Kurz et des membres de la revue Exit !, l'une des principales théoriciennes en Allemagne du courant de la critique de la valeur-dissociation (Wert-Abspaltungskritik). Elle s'attache à théoriser le lien entre capitalisme et patriarcat moderne ainsi que les métamorphoses de ce patriarcat, et à dépasser les féminismes de l'égalité et de la différence, comme les féminismes intersectionnels, déconstructionnistes, matérialistes, écoféministes ou de la « lutte des classes ».
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
lartistafred
jules_albert a écrit :

Roswitha Scholz propose une critique féministe du patriarcat capitaliste au-delà du progressisme politique, du marxisme traditionnel et de tous les développements postmodernes. Elle effectue une critique radicale de la modernité comprise comme patriarcat producteur de marchandises, ce qui la conduit à refuser de se laisser enfermer aussi bien dans la croyance en un progrès immanent de la modernité, que dans les « contradictions secondaires », l'essentialisme naturalisant ou le différentialisme post-structuraliste.]


C'est un manuel de branlette intellectuelle ?
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
jules_albert


Rien de mieux que commencer un lundi par un livre contre le travail : ne (télé)travaillez jamais !

https://www.editions-crise-et-(...)bord/

Qu’est-ce que le travail ? Pourquoi travaillons-nous ? À gauche comme à droite, on répond que le travail est à la fois une nécessité naturelle et un bien social. On peut critiquer sa gestion et son indemnisation, mais jamais le travail lui-même. Dans ce livre, Hemmens cherche à remettre en cause ces idées reçues.

En s’appuyant sur le courant de la critique de la valeur issu de la théorie critique marxienne, l’auteur démontre que le capitalisme et sa crise finale ne peuvent être correctement compris que sous l’angle du caractère historiquement spécifique et socialement destructeur du travail. C’est dans ce contexte qu’il se livre à une analyse critique détaillée de la riche histoire des penseurs français qui, au cours des deux derniers siècles, ont contesté frontalement la forme travail : du socialiste utopique Charles Fourier (1772-1837), qui a appelé à l’abolition de la séparation entre le travail et le jeu, au gendre rétif de Marx, Paul Lafargue (1842-1911), qui a appelé au droit à la paresse (1880) ; du père du surréalisme, André Breton (1896-1966), qui réclame une « guerre contre le travail », à bien sûr, Guy Debord (1931-1994), auteur du fameux graffiti, « Ne travaillez jamais ».

Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
lartistafred
Ca a l'air intéressant.

En même temps, dès que le sujet est d'en faire le moins possible, ça me parle, même si je ne me vois pas vivre sans travailler
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
Slyonline2
Souvent des gens qui cherchent a vivre en auto suffisance (non salarié) travaillent beaucoup.
Être plutôt que paraître, brouter plutôt que paître...
lartistafred
Slyonline2 a écrit :
Souvent des gens qui cherchent a vivre en auto suffisance (non salarié) travaillent beaucoup.


Les auto entrepreneurs s'auto-exploitent il est vrai.
vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
lartistafred
Oh bon sang...un quart de siècle après c'est d'actualité..

vous recherchez un idéal, dans le sens que vous moulez votre corps, c'est ça vous développez votre corps. Vous en changez le contour et vos formes et vos muscles, pour qu'ils prennent l'apparence que vous désirez. C'est d'abord une perception abstraite du corps que vous souhaitez obtenir, vous essayez ensuite d'épouser vraiment ces formes.

Tom PLATZ
Un petit schéma pour résumer :
esprit --> troisième oeil : voit le corps idéal --> corps --> prière du corps --> esprit
Et on recommence autant de fois qu'on veut. ;-)
jules_albert


Prolétariat sauvage, nouveauté de Miguel Amorós publiée par Milvus, une maison d'édition qui, comme L'Echappée ou El Salmón, s'oppose aux idéologies pseudo-critiques qui ne font qu'accompagner le déploiement du technolibéralisme (élimination de la question sociale, déconstruction à tous crins, relativisme généralisé, artificialisme forcené, fascination pour la technoscience) et qui entend retrouver le fil des courants les plus hostiles au Capital et aux machines.

Certains livres sont disponibles gratuitement en format pdf (par exemple "Fuck Green New Deal") : https://editorialmilvus.net/wp(...)l.pdf


Présentation de Prolétariat sauvage : https://editorialmilvus.net/pr(...)vaje/

Qu'est-ce qui a poussé des centaines de milliers de travailleurs, en dehors des partis et des syndicats, à mettre en échec les gouvernements d'une bonne partie de l'Europe au cours des années 70 ? Entre 1968 et 1981, il y eut une période de grande conflictivité, un processus de lutte qui allait de l'action de masse à l'activité de petits groupes armés et qui s'est heurté au repli de la bourgeoisie et de l'État et à une répression sanglante. Ce mouvement "sauvage" est aujourd'hui pratiquement oublié ou relégué au second plan. Il s'agit donc, d'une part, de rétablir une période historique importante et méconnue de la lutte des classes et, d'autre part, de remettre au goût du jour la validité de la proposition pratique de l'autonomie au sens large.

Alors que nous assistons à l'augmentation constante des prix de l'énergie, à la crise climatique et aux scénarios de guerre, des grèves sauvages, des boycotts ou des phénomènes tels que la "grande démission" éclatent à nouveau. Nous trouvons dans l'expérience autonome une contribution précieuse sur la manière d'aborder les pratiques révolutionnaires et la question de l'organisation.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert


Il faut toujours garder à l'esprit le grand film orwellien de Ken Loach, "Land and Freedom", pour rappeler aux bourgeois de gauche d'aujourd'hui que les ouvriers de 1936 ne se battaient pas pour la République, mais pour la Révolution. La République mythifiée par la "gauche" paraît aujourd'hui bien ridicule en comparaison de la magnifique tentative révolutionnaire du prolétariat de l'époque.

Au début, l'initiative a été prise par les ouvriers et les paysans de toutes tendances, qui ont occupé les terres et les usines avec l'intention de les collectiviser. Le gouvernement de Giral était dépassé. La Colonne de Fer n'était qu'un élément parmi d'autres de cette énorme vague révolutionnaire. Partout où passe la Colonne, elle tente de donner encore plus de force à la Révolution. Le peuple libéré répond en s'organisant et en lui envoyant des vêtements, de la nourriture et de l'argent. La rapidité et l'ampleur de ce processus révolutionnaire effrayaient l'État, car un tel bagage l'empêchait de renverser le pacte de non-intervention entre les puissances. Le seul moyen d'arrêter la Révolution était de faire entrer la CNT dans le gouvernement républicain. Il s'agira alors d'incorporer les milices révolutionnaires à l'armée régulière en les transformant en brigades d'une armée "populaire" dont la direction passerait des mains du prolétariat à celles de l'Etat, belle entourloupe. Le prolétariat serait ainsi neutralisé et désarmé. Les chefs de la CNT (pour assurer leur futur de bureaucrates) se laissèrent amadouer par la bourgeoisie républicaine et acceptèrent d'entrer au gouvernement, trahissant ainsi les bases prolétariennes. C'est cette soumission aux ennemis de l'intérieur que raconte le film de Loach, car la Révolution n'a pas été vaincue par Franco mais par la République de Negrín avec l'aide des staliniens.

De nos jours, les historiens et les journalistes détestent par-dessus tout le livre le plus objectif sur la guerre civile espagnole : "La Guerre d'Espagne. Révolution et contre-révolution" de Burnett Bolloten (publié par Agone). Et c'est précisément ce livre qui dessine la Colonne de Fer avec des traits révolutionnaires. Le livre met en avant pour la première fois l'histoire du prisonnier de San Miguel de los Reyes si souvent reproduite par la suite ("Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1937").

Les journalistes et les historiens préfèrent désinformer prolongeant le travail des juges-bourreaux du franquisme. Il suffit de regarder ceux qui répètent aujourd'hui le refrain diffamatoire entonné jadis par la bourgeoisie républicaine, les franquistes et l'Église : néo-fascistes, moralisateurs, réactionnaires, conservateurs, post-staliniens... des gens d'ordre, idolâtres de l'autorité, qui haïssent de toutes leurs forces les changements radicaux. Le mensonge est leur arme, autant que la vérité est l'arme de la Révolution.
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La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert


https://www.lechappee.org/coll(...)ibale

Plasma, cornées, tumeurs de foies, ovules, lait maternel, cellules souches, sperme, fœtus avortés… sont devenus en toute légalité des marchandises. Ces échantillons biologiques s’échangent sur des marchés, à l’échelle mondiale ; les uns pour lutter contre le vieillissement ou des maladies chroniques, les autres pour combattre l’infertilité ou augmenter la masse musculaire.

Ce livre retrace le passage d’un « corps-cosmos » à un « corps stock » qui aboutit à la création d’un grand bazar de pièces détachées disponibles pour la bioéconomie. À grands coups de biotechnologies, les éléments du corps sont transformés en ressource génératrice de croissance. Pour le montrer, l’auteur s’appuie notamment sur les enquêtes qu’il a menées sur les biobanques et sur la transformation du plasma en médicaments.

Elles permettent de comprendre pourquoi cette marchandisation passe inaperçue grâce, notamment, au coup de bluff d’une bioéthique orchestrée par l’État. La bioéthique crée l’illusion qu’institutions et experts constituent un rempart au développement effréné de la technoscience et du capitalisme. Alors qu’elle accompagne ce processus de mise en pièces du corps par un capitalisme proprement cannibale.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

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