Monsieur M a écrit :
Faire un programme de ses possibilités (
sex drugs and rock'n'roll, Pukheth ou du deal de coke) alors même qu'il explore encore, c'est, je pense, agir en vieux con qui veux se rassurer en pensant que tout le monde va se ranger comme lui - qu'il n'est finalement que l'objet du destin. [le "vieux con" n'est adressé à personne ici]
lui
En l'occurence, c'est mal interprêté.
Je ne crois pas au destin, et j'assume mes choix. Et ce d'autant mieux que j'ai eu pleine conscience de les faire, à chaque fois, en connaissance de cause.
Je suis donc serein et n'ai vraiment aucun besoin de me rassurer.
d'ailleurs, si tout le monde se rangeait comme moi, ça ne me rassurerait carrément pas. Ca me ferait peur.
Simplement, je me contentais d'expliquer une trajectoire fréquente que certains traduisent par "embourgoisement avec notion de beaufitude", et que certains semblent considérer comme le mal absolu. Comme une sorte de déchéance que rien ne peut justifier et qui aboutit à l'état larvesque de père de famille salarié... (pas d'animosité ni de provoc dans ce que je dis, je caricature volontairement).
Je me suis juste efforcé d'expliquer cette trajectoire qui ressemble pas mal à la mienne à travers la façon dont je l'ai vécue. Voilà tout.
Et j'atteste que l'on peut y trouver son équilibre voire son bonheur. Et je ne prétends évidemment pas que cette voie soit la seule pour y accéder.
L'autre versant que je décrivais relate encore quelque-chose de personnel, c'est à dire ce que je serais devenu en suivant l'autre voie qui se proposait à moi.