chacal a écrit :
boooon, je reprends en cours de route et...
"
" parce que je crois que j'ai vécu tout ce qui est sus-cité avec ma femme en fait....
On s'est rencontrés elle était en pleine dépression (hopitaux psys, anti dépress au taquet, etc...) et moi j'étais un gros frustré de sa race à peine dépucelé qui aurait pu se sortir la première potable qui disait oui...
Autant dire qu'en théorie c'était mal partie.
Entre temps on est passés un peu par tout. le fusionnel, les périodes de "prudation" (elle dans la religion et moi scotché au net), l'isolement géographique, le libertinage, etc... parfois par quête d'autre chose, parfois par besoin, parfois par envie, parfois par curiosité...
Et franchement dans un couple assez fort et assez amoureux pour ca, tout est vivable, tout est gérable, tout fait murir et grandir, et tout ce qui éloigne peut agir comme un boomerang du moment qu'on ne lache pas l'affaire...
ET au final j'ai envie de dire que les analyses du besoin de ne pas être seul, qu'il soit névrotique, social ou viscéral, ne sont que des manières de contourner le sujet ou de le déshumaniser, ou de tenter de justifier pour soi une solitude....
Tout ça me fait penser que vous semblez avoir une relation rare qui repose sur un vrai dialogue et une absence de tabous/non-dits - chapeau, je vous souhaite qu'elle dure