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Revue de presse:
https://www.rtbf.be/article/la(...)25402
C’est là que Jean-Luc Mélenchon, chef des Insoumis, a proposé de soutenir le gouvernement sans y prendre part. Sans ministre. Retournant la stratégie de Macron contre lui-même.
Impuissance à sortir de cette crise tout comme impuissance à comprendre ce que veulent les Français. A ce sujet, Libération rappelle le résultat des élections : "L’immense majorité des électeurs a voté pour des partis rejetant le macronisme."
Mépris car prétendre agir au nom de la stabilité institutionnelle d’un pays quand on a déstabilisé celui-ci avec une dissolution surprise de l’Assemble, cela frise le ridicule.
https://www.rtbf.be/article/la(...)25402
Citation:
Pour Le Figaro, "c’est l’histoire d’un homme qui a creusé un trou pour y faire chuter ses adversaires mais qui est tombé dedans." Comique, s’il ne s’agissait pas d’Emmanuel Macron, du gouvernement et de la France. Le piège en question que vise le quotidien, ce sont les élections de juin. Citation:
Le Monde analyse une autre stratégie manquée. La tentative du Président français d’écarter la candidature de Lucie Castet au poste de Première ministre. Emmanuel Macron, explique le quotidien, entendait lui faire dire qu’elle nommerait des ministres de la France insoumise dans son gouvernement. Ce qu’elle a confirmé. Le chef de l’Etat comptait – ensuite – sur les autres forces politiques de droite pour censurer immédiatement un gouvernement comprenant des Insoumis. Ce qui s’est produit. Scénario réglé comme du papier à musique qui aurait permis à Macron d’annoncer l’impossibilité de poursuivre avec cette candidate.C’est là que Jean-Luc Mélenchon, chef des Insoumis, a proposé de soutenir le gouvernement sans y prendre part. Sans ministre. Retournant la stratégie de Macron contre lui-même.
Citation:
Pour Libération, deux mots résument l’attitude du chef de l’Etat. Le mépris (c’est le titre de Une) et l’impuissance (titre de l’édito.)Impuissance à sortir de cette crise tout comme impuissance à comprendre ce que veulent les Français. A ce sujet, Libération rappelle le résultat des élections : "L’immense majorité des électeurs a voté pour des partis rejetant le macronisme."
Mépris car prétendre agir au nom de la stabilité institutionnelle d’un pays quand on a déstabilisé celui-ci avec une dissolution surprise de l’Assemble, cela frise le ridicule.
