cliclac a écrit :
Faudrait aussi accepter lorsque l’on est pro LFI que d’autres peuvent ne pas s’y retrouver et espérer une autre forme de gauche.
il y a dans LFI quelques personnes pas trop « sympathiques » les enrober dans un joli programme ne les rend pas plus attirantes
Faudrait accepter aussi que dans le PS il y a quelques personnes que d'autres ne supportent plus et ne peuvent plus voir en peinture.
Les seuls que je trouvais sympathique en ont été viré , ou ont jeté l'éponge. La gauche caviar ne représente qu'elle même, et pourtant j'ai voté plus d'une fois pour elle. Il arrive un moment où...
Rien qu'en 2007, elle a été lamentable : on peut dire ce que l'on veut de Royal, mais toute " cette gauche" ne l'a aucunement soutenu lors de l'élection, surtout parce que c'était une " bonne femme" ( faut voir les réflexions de l'époque, du niveau cours de récré du primaire) et a préféré laisser gagner Sarko, en se foutant totalement de leur électorat : 5 ans de droites on suivit, eux cela ne les gênaient pas.
Bref, le PS c'est juste un logo, une marque, une coque vide.
Bon plus tard, c'était Hollande...
La retraite à 62 ans, ce que n'avait même pas osé Sarkozy. " Mon ennemi c'est la finance" puis après on le voit en milles excuses à une conférence du MEDEF " cela comptait pour du beurre, ne vous inquitez pas !" Et gros léchage de boules.
Le PS dans toute sa splendeur.
Bref...
Le seul que j'aime bien, et dont tous le monde se fout de sa gueule, c'est A. Montebourg.( Bon, ya bien Julien Dray, et quelques autres).
Et le pompon, avec le NFP, c'est le retour de Jospin en " soutien" à l'entre deux tours : " le nouveau espoir de la gauche" tel hibernatus ou " retour vers le futur " dans le rôle du " Doc",
puis Hollande ( Mc Fly) qui rapplique aussi " j'en veux, j'en veux aussi !" Dans le genre opportunistes. Là si ils voulaient tous faire foirer, pouvait pas s'y prendre autrement.
Et puis ils viennent en position de force, en oubliant qu'en 2022 le PS avait fait 1,5% avec Hidalgo ( là aussi, sûrement aussi bien soutenu que Royale en son temps) au premier tour de la présidentielle.
Il y en a qui ne doute de rien.