Le plus simple c'est quand même de relever les solos sur papier ou sur instrument, mesure par mesure, et voir ce qu'ils traffiquent.
A mon avis il faut pas trop se prendre la tête.
Comme c'est teinté de blues et de jazz, ça joue souvent beaucoup sur l'alternance tierce majeur tierce mineur volontairement floue, qui me semble pas vraiment explicable théoriquement (enfin tonalement plutot), plus des chromatismes façon jazz. Ainsi que le jeu entre sixte majeur et mineure.
C'est pour ça que la dessus des bonnes vieilles penthas majeures et mineures avec libre choix pour les notes qui révèlent plus clairement la couleur des modes, ça doit marcher pas mal.
Je trouve que sur ce genre de trucs, à partir du moment ou tu utilises trop clairement un mode ou que t'insistes trop sur majeur ou trop sur mineur, ça sonne pas trop, il vaut mieux être ambigu.