tomriffmaniac a écrit :
tout dépend de ce que tu en attends, les effets sont tous de très bonne qualité.
Après moi personnellement je m'en sers de moins en moins parce que je me sens plus inspiré avec des pédales individuelles avec plus d'identité sonore. Le nova me sert de complément en mode machine à tout faire pour ajouter le ptit truc qui manque (deuxième delay, boost, effets que je n'ai pas encore en pédale individuelle...)
Je conçois aussi actuellement plus le nova comme un excellent pedalboard transportable pour les vacances ou pour des répets/scènes ou tu peux pas emmener tout ton matos.
La même expérience. Et à peu près la même utilisation.
C'est, au surplus, un très bon bloc–notes à idées pour chercher des sons, par alliances, oppositions.
Après, bien sûr, direct au P.Board pour finaliser tout ça, c'est à dire le modifier, le déplacer, le chambouler, voire l'abandonner.
Associé à un bon looper (EHX 45000 + stomp dédiée) et à une Beat Buddy, le Nova devient un fantastique bloc-notes qui reste relativement compact et qui peut aisément constituer un 2°PB sur lequel une basse passera, en plus, avec un confort tout à fait acceptable.
Ainsi, ça évite souvent de réveiller el'dinateur, son écran avec ses 27 pouces d'aveuglement parfois bien durs de la feuille, ses claviers, ses mulots ou ses surfaces tactiles, et j'en passe...pour griffonner deux ou trois idées.
De celles qu'on laisse en jachère, qu'on oublie, qu'on retrouve...qui finissent dans les trous noirs, ou en répétitions, "prova d'orchestra", et au delà...
Non, le Nova je le garde.
C'est pas le cas du G–System.
Autrefois, à peine arrivé et déjà reparti
.
Holy crap, lui, il ne me convenait pas du tout, mais alors pas du tout, et ce sans préjuger des qualités intrinsèques de l'engin, qualités possibles que je n'ai pas cherchées bien longtemps.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.