tguyfr a écrit :
Ouais, restons prudents
J'ai encore un M5 et je me suis surpris à aimer quelques sons. En tout cas ce que j'aime bien, c'est mélanger les effets et les multis car ils ont chacun leur signature. Tout un board en Strymon, Fractal ou L6... ça sonne assez boxy. Du coup je doute avoir véritablement envie de replonger le nez dans la chnouffe des multis...
Pour Strymon, j'ai déjà réglé le problème : c'est sur l'étagère...
Mélanger des effets numériques / analogiques sur le PB, on le fait tous.
Les mélanger avec des multis plus ou moins évolués, ça ne m'est jamais arrivé ; le seul multi que je conserve encore, c'est un Nova System de TCE, toujours utilisé sans autres pédales comme boîte à idée. Et c'est très loin d'être un monstre de performance.
Je possède, comme presque tous ici, un PB avec des f.stomps intégrées après de patientes sélections. Pas question de m'en séparer, pour l'essentiel.
Et la grande majorité, ici–même partage une expérience très similaire
.
Pour le moment, je reste sur le bord du fleuve Helix, à regarder le courant.
Intéressant, mais pas du tout convaincant.
Pas encore.
Le PB à la sauce Fractal FX 8 reste, pour moi, une alternative apparemment plus crédible en terme sonore que le Helix, par rapport au plus encombrant et plus lourd PB classique qui demeure ma base quotidienne. Tout en restant, je trouve, assez malléable et plus accessible que le Line 6 ; tout cela jugé de manière partielle, après m'être surtout d'abord appuyé les deux modes d'emploi, en long en large et en travers.
L'aspect esthétique du FX 8, je m'en contrefiche.
Je m'en remets à mes oreilles.
Bon, c'est vrai, les écrans du FX 8 et ceux du AX 8, ne sont pas des modèles de clarté et de lisibilité.
De ce point de vue, celui du Helix semble avoir distancé la concurrence qui ne devrait pas tarder à réagir sur ce plan loin d'être anecdotique.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.