Mikka Grytviken a écrit :
The 1975 ne jouent pas sur Strato ... dommage car en fait c'est un groupe de jeunes qui font une Pop très rafraîchissante je trouve.
Pour revenir à Scott Henderson, son côté Blues et Fusion et puis enfin une vrai Stratocaster dont il ne se sépare plus et son Shur Signature qui n'est rien d'autre qu'un clone de son vieux Marshall préféré.
Je ne prétends pas réconcilier qui que se soit avec quoi que ce soit ni qui que ce soit, mais juste partager avec vous et en particulier vous autres amoureux comme moi de la Stratocaster un des aspects musicaux qui a participé à construire ma culture musicale et ma passion pour cet instrument qu'est la guitare et encore plus particulièrement la Stratocaster.
Impressionnant!
Techniquement seulement.
Pas un seul silence, pas d’espace entre les phrases, des tartines de notes sans queue ni tête.
Il ferait mieux de ré-écouter Coltrane; jouer sur la haute énergie en haut débit n’est pas donné à tous.
Ou même (s)Ornette Coleman, puisqu’il semble loucher parfois sur le “free défendu”..,
En jouant “out” mais pas trop.
De la musique pour guitaristes (même pas pour musiciens).
On dirait un espace de maniaque sous poudre colombienne.
Il ferait mieux de s’entourer d’une formation élargie, avec claviers et cuivres; on l’entendrait moins et peut-être que cela lui ferait du bien d’écouter les autres.
Ceci dit, il a peut-être fait autre chose que cela.
Pas la carrure d’un Miles Davis non plus..., période “Live evil”, avec formation large richissime en vrai fusion (c’est lui qui l’a inventé vers 69, avec herbie Hancock, Corea chick, Zawinul et Jarrett Keith & mc Laughlin , de johnette, Ron Carter, morea Airto, Steve Grossman , al Foster, Pete Cosey et billy Cobham.
Dans le genre guitariste en fusion, je préfère le boulot d’un tommy Bolin, sur le “spectrum “ de Billy Cobham; les solos durent 40 secondes mais il s’y passe quelques chose.
Bref, la VRAI fusion, avec une dizaine de Gus sur scène , des climats , des paysages sonores.
Franchement, je le vois mal, en réconciliateur celui là...
De qui que soit et quoi que ce soit.
C’est trop radical au fond.
Sauf le respect que je dois toutefois á ce musicien, c’est de la branlette égocentrique.