ludoguitare a écrit :
(...)
concernant obispo mon grand casseoreille , si tu descendais des hautes sphères où tu crois évoluer pour venir travailler dans le monde réel des petits musiciens qui travaillent et qui se rencontrent dans la vraie vie , tu saurais qu'il doit au moins autant à Jean-Pierre Pilot ou Yvan Cassar qu'à lui même ,ce qui n'enlève rien à son mérite dans le fond ,mais je maintiens que si tu penses que c'est un grand pianiste , pour reprendre tes termes , c'est que tu n'en as jamais vu un.e vrai.e , de pianiste .
et pour quelqu'un qui fréquente les conservatoires ça me paraît ultra chelou parce que je pense qu'obispo dans une classe de second cycle déjà ça serait ultra gênant pour tout le monde.
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Même à travers la hâte de mon résumé, ce petit extrait que je cite ici donne une vue claire, juste et ample du "problème", une vue frappée au coin du bon sens qui n’est pas de la fausse monnaie, comme on dit dans le milieu.
Wise guys on the mood, or in the mob...
ludoguitare a écrit :
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tu regarderas le film "tous les matins du monde" ça va t'apprendre plein de choses, c'est beaucoup mieux expliqué et en plus y'a Jean Pierre Marielle .
Bel et bon exemple
, quoique ton agacement, que je comprends, t’ait conduit à faire un peu trop bref dans l’argument.
Mais, des fois, c’est vrai, on fatigue devant les moulins à vent et les ruisseaux d’eau tiède.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.