Sprint25 a écrit :
Et hop l'article paru dans Guitare Part sur la T-Master Aquatimber
Stiff a écrit :
Yep, et ils en disent vraiment du bien!
Trop à l'ouest, au sens propre (dans du gros vent au large du Morbihan), je n'avais pas eu le temps de faire main basse sur la parution annoncée, il y a peu, par
lililou.
C'est bien la mienne, la table en loupe d'érable est si caractéristique, pareille à des empreintes digitales, qu'on ne peut s'y tromper. Mon orgueil, maintenant bien au chaud et à l'abri à Port-Tudy (île de Groix), se vautre au soleil qui pointe entre les rafales, en découvrant la page de l'essai que tu as mise en lien : la 1° fois que je vois la photo d'une de mes guitares dans un journal
.
Pour jouer la ruse ou le mauvais esprit, je ne vois pas comment, au vu de ce qu'écrit le journaliste, il a pu enlever un demi point sur deux des quatre critères de synthèse : l'électronique et, surtout, la jouabilité (alors qu'il souligne avec raison la qualité du manche, de la touche avec une finition des frettes digne d'éloge...).
Autre chose, le commentaire sur les micros me paraît assez vague ou impressionniste. L'aigu reste très Tele/twang, sonorité chaude, mais aussi acide / cristalline, superbement bien équilibrée.
Je suis plus en phase avec ce qu'il dit du P90 (cela dit un P90 en manche, ce n'est pas très Tele Spirit...justement ; et c'était bien ce que je recherchais, a priori, avant de m'intéresser à l'Aqua Timber, et je n'étais sans doute pas le seul,
).
En revanche, ce qui est dit de la position intermédiaire me semble, à nouveau, assez passe-partout : ce mixage entre les deux personnalités très marquées des deux micros est pourtant, sans doute, le point fort de cet attelage, que nous n'avions pas manqué de remarquer déjà, il y a quelques mois, n'est-ce pas
Sprint ?
.
Bon, là, les cirés sèchent. Le bateau est amarré.
Je tangue encore un peu.
Mais, je suis à terre, bien à l'abri du vent.
Lui, il continue à payer sa tournée
.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.